ACE CAFE RADIO

    vendredi 23 octobre 2015

    41 VOITURES AU DÉPART POUR LA FINALE DE L’EUROPEAN VW FUN CUP


    Avec une double attribution de points, les 10 Heures de Mettet promettent une fin de saison passionnante pour l’European VW Fun Cup 2015. L’équipe Allure Team 2 mène le championnat devant les formations Socardenne et Allure Team 1. Mais d’autres n’ont pas tout à fait rangé leurs derniers espoirs… Il y aura donc une certaine pression chez les candidats au titre samedi à 10h lorsque le départ sera donné !
    Le suspense durera probablement jusqu’au bout ! Il est vrai qu’en programmant les 10 Heures de Mettet comme finale de l’European VW Fun Cup 2015, Kronos Events a su maintenir l’indécision jusqu’à la finale de son championnat. La course de l’Entre-Sambre-et-Meuse n’est pas seulement la deuxième plus longue épreuve après les 25 Heures. Elle est aussi, avec le double tour d’horloge allongé, celle qui rapporte le plus de points pour le championnat ! Une première attribution sera en effet effectuée après 5 heures de ronde avant qu’une deuxième ne vienne clôturer le championnat juste après la présentation du drapeau à damier, samedi sur le coup de 20 heures. Au total, il y a donc 140 unités à prendre sur le Circuit Jules Tacheny. Et en sachant que les concurrents peuvent supprimer leurs deux moins bons résultats – ou quatre demi-manches lorsqu’il y a eu des demi-attributions de points –, il faudra sortir les machines à calculer.
    Mathématiquement, ils sont nombreux à encore pouvoir rêver du titre. Mais entre la théorie et la pratique, on sait qu’il y a toujours une différence et les vrais candidats à la couronne se comptent en réalité sur les doigts d’une main. Après avoir dominé le Trophée des Fagnes, l’épreuve de Zandvoort et le Trophée d’Alsace, l’équipe Allure Team 2 abordera la dernière ligne droite en tête. Mais avec la malchance qu’ils ont rencontrée aux 25 Heures, Cédric Bollen, Frédéric Caprasse et Guillaume Mondron – rejoints par Edouard Mondron ce week-end – ne sont pas encore assurés de coiffer enfin leur première couronne. Surtout que, depuis la Sprint Race à Zolder, l’équipe Socardenne a le vent en poupe. Après le succès de Kevin Balthazar et Grégory Servais dans le Limbourg, ce même Kevin Balthazar, Renaud Martin et Christophe Nivarlet ont pris la deuxième place au Trophée d’Alsace. A Mettet, ce trio sera rejoint par François Verbist. S’ils devaient amasser le maximum de points après 5 heures et remporter les 10 Heures, les hommes de la #280 empocheraient un titre… dont ils n’auraient pas osé rêver en début de saison ! Enfin, il reste le cas de l’équipe Allure Team 1. Absents sur l’Anneau du Rhin, Frédéric Bouvy, Lorenzo Donniacuo et Franck Radet y ont joué un joker. Mais s’ils dominent le rendez-vous de Mettet et que leurs équipiers ne terminent pas dans leur sillage, tout reste possible !
    Même si on sait qu’une dizaine de formations ont, mathématiquement, encore une chance, le titre devrait se jouer entre ces trois équipages. Mais le sport automobile n’est pas une science exacte, et si les favoris devaient trébucher, deux autres équipages gardent encore de réelles chances. Tenant du titre, le Colson Racing ne cédera pas sa couronne sans combattre. Philippe Crosset, Eric Gressens et Sébastien Jacquemin recevront le renfort de Maxime Soulet sur la célèbre #19.
    Est-ce que cela sera suffisant ? Quant à l’équipe AC Motorsport 2, elle vient de s’offrir un podium en Alsace et elle veut conclure la saison en beauté. Et s’ils devaient avoir vraiment beaucoup de réussite, qui sait si Alix Fraiture et Sébastien Ryhon ne pourraient pas devenir les champions 2015 de l’European VW Fun Cup ? Surtout que, à Mettet, le duo deviendra trio avec l’arrivée du très jeune kartman Benjamin Lessennes (16 ans), qui n’avait pas manqué d’impressionner lors de ses débuts en automobile en Alsace.
    Parmi la quarantaine d’équipages engagés, il n’y aura évidemment pas que des candidats au titre. Plusieurs équipages malchanceux en cours d’année auront à cœur de finir la saison en force. On pense en priorité à l’équipe AC Motorsport 1, qui avait remporté sa première victoire en VW Fun Cup sur le Circuit Jules Tacheny il y a un an. De retour à Mettet, Arnaud Quédé, Stéphane Perrin, Didier Van Dalen et Martin Leburton auront à cœur de retrouver le chemin de la victoire.
    Deux autres équipes – au moins – seront à surveiller : la formation 8Ks Corse Team des Italiens Claudio Cappelli et Federico Sordini et l’équipage défendant les couleurs d’Acome Racing, soit Manu Nava, Stéphane Charlier et Alain Delrez. Notons encore la présence sur les voitures des nouvelles équipes ComToYou et Bustin by ComToYou de Frédéric Vervisch et d’Olivier Muytjens, deux pilotes s’étant constitué un joli palmarès en automobile.
    Biplaces : Trendy Foods et CARPASS LRE by DRT face à face
    Si le suspense sera entier pour le classement général, que dire alors de la catégorie des Biplaces ? Après le retrait des moins bons résultats, les deux équipages de pointe sont séparés par… 0,5 point ! Ralentis par des problèmes de boîte de vitesses en Alsace, Francis Plunus et Eric Jardon (Trendy Foods) ont vu revenir dans leur sillage les champions 2014, CARPASS LRE by DRT. Pour cette finale, ces équipages ont tous les deux décidé de se renforcer. Ainsi, Jean-Pierre Van de Wauwer fera – comme aux 25 Heures – partie de l’équipe Trendy Foods. Chez CARPASS LRE by DRT, en l’absence de Stéphane Lémeret (retenu par son implication en GT Tour), c’est le rapide pilote néerlandophone Sam Dejonghe qui sera de la partie pour épauler Alain Vercammen, Miguel Coppieters et Nicolas Vaxelaire. Pas de doute, ce duel devrait également être passionnant à suivre ! Surtout que plusieurs arbitres devraient mettre leur grain de sel dans cette bagarre, à l’image des anciens champions du TML Racing (Baudouin et Florent de Liedekerke) ou de la formation CBRS / AC Motorsport (avec Alain Dupont, Michel Koning et Alain Fisette derrière le volant). Avec l’atout charme que constitue Angélique De Tavernier, la #371 de ComToYou (également pilotée par Dominique Bustin, Christophe Hooreman et Stéphane Evrard) compte également faire parler d’elle !
    Vendredi en fin de journée, les essais qualificatifs ne détermineront pas la grille de départ, celle-ci étant établie en fonction d’un jeu mis sur pied vendredi à 18h30. Samedi, le départ des 10 heures de ronde sera donné à 10 heures avec une arrivée à la lueur des phares. L’entrée est gratuite pour les spectateurs qui voudront assister à ce final passionnant. Qu’on se le dise !

    Triumph Bonneville – Macco Motors

    Written by Martin Hodgson.
    When Macco Motors built their No. 3 Triumph Bonneville named “Dusty Pearl”, they created a machine that would inspire customers from around the world to send the Spanish workshop orders for a Macco Bonnie just like it. Each bike has been created with a twist here and turn there to suit the visual tastes and the type of riding each client desires. But when a big German by the name of Martin made the call for a Macco Bonneville of his own, the guys convinced him that it was worth taking his 2008 Triumph Bonneville for a walk on the wild side. It was time to create “Apache”.
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    What makes this bike on the wilder side of things is nothing to do with looks or outrageous power figures but perhaps the most important part of any motorcycle, the way it handles. With Martin standing tall at 195cm, setting the bike up is a challenge to begin with, but add to the fact he is an expert rider who wanted a Bonneville he could push to the limits Macco was left with just one option, Ohlins. From the paddocks of MotoGP and WSBK to the leading sportsbikes in the world the Big O from Sweden dominates the market and while costly, there is rarely a better alternative. With Martin’s height in mind Ohlins adjustable length rear shocks with full tuneability made perfect sense for the build. To match the rear Macco went beyond just replacing the stock springs but utilised a complete Ohlins USD front fork assembly.
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    Great suspension is only as good as the tyres that grip the road and the versatile Metzeler Tourance allow Martin to fine tune the suspension and tackle just about every surface. To improve both looks and performance the unsprung weight is reduced with new rims laced with quality stainless spokes for a traditional look to a thoroughly high-tech machine. Having dialled the Bonneville in to be ridden fast and knowing what an aggressive rider Martin likes to be braking had to be up to scratch. The front floating disc is a 320mm drilled item and is held to the Ohlins forks with a custom billet bracket to prevent flexing. This is clamped by the latest Brembo 4 pot caliper featuring an array of titanium components and finish.
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    Martin might have wanted a high-tech Bonnie, but it was the look of the Macco Motors machines that first caught his attention and the boys didn’t let him down in that department either. The Spanish lads started with the matte black and cleared raw metal look that they are known for before adding a dark red single stripe that has the Macco Motors logo laid down over the top. The stock subframe was chopped and modified to allow for the fitment of the stunning dark chocolate leather seat that is made in-house. Both fenders are fibreglass Macco creations and while the rear is typically tracker the front hugs the tyre to create a visual line that is simply stunning.
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    Powering the beast is of course the famous 865cc Triumph parallel twin with sequential fuel injection for smooth throttle response and power delivery. Vented fibreglass side covers allow the engine to breathe easy while adding some extra bark is a pair of tuneable SuperTrapp mufflers.
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    And yes the pipes are wrapped, particularly important for reducing heat around an air-cooled engine and the increased heat retention inside the exhaust improves both the speed of gas flow and the responding scavenging effect of the pipe. An LSL sprocket cover shows off more of the machines mechanical mechanisms and the alloy footpegs are position perfectly for Martin’s height.
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    A Tracker needs just the right set of bars and the ever popular Biltwell Tracker handlebars are the perfect fit when matched up with Clubman LSL grips. The underslung mirrors keep everything tidy and just like the bar end turn signals come from the Motogadget catalogue. The rear turn signals are from Kellerman and adding some tradition to the array of modern tech is the classic 7 inch headlight and small taillight that is fender mounted.
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    With the ignition relocated and neatly tucked away Macco created a tidy mount for the stunning Motogadget Motoscope Pro Speedometer that gives all the basic info like Speed, RPM, digital idiot lights and a full array of warning lights and information to monitor engine performance and condition.
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    Having listened to their client’s needs and then put their remarkable building skills to work Macco Motors once again have a Bonneville ready to ship to another foreign land for a customer who couldn’t be happier. While there is always “more” you can do to even the most modified motorcycle, Macco Motors have delivered one of the most highly functional Bonneville’s you are ever likely to see without going that one step too far. Quality craftsmanship and expert design, the best of Ohlins and Brembo and a mix of hand-made and off the shelf components into a package that is a true riders dream.
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    [Photos by Sergio Ibarra from Semimate] via PIPEBURN

    Who Built the First World Rally Champion?

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    By   (GEAR PATROL)
    When Americans think of Renault, they either remember the bargain, late-’70s, French econobox known as Le Car (or Renault 5 in Europe), or they draw a complete blank. The States, unfortunately, have never had the benefit of experiencing Renault’s more exciting offerings, like the Megane and the Clio, and we’ve also never had the privilege of driving the high-performance Alpine A110 rally car — a car with the humblest of beginnings that rose to become an icon.
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    What It’s All About

    The Alpine series of French race cars were initiated by the youngest Renault dealer in France, Jean Rédélé. He spent his time modifying Renault 4CVs for racing in the French Alps and found the kind of success that warranted attention from his employers. When he created his first Alpine, the A106, and showed it to the executives at Renault, they gave the car their full support. The A106 was followed by the more powerful A108, which used the better Renault Dauphine as its platform (rather than the 4CV). Like the A106, Renault re-skinned the A108 with a sportier and sleeker body with a fiberglass rear. Then, cash ran thin and Renault needed a backer, which thankfully came in the form of American company Willys-Overland Motors.
    Willys took the capable A108 and sold it as the Willys Interlagos between 1962 and 1966. The car raised much needed money for Renault, which then successfully launched their new R8 sedan. The R8 was a family car with 66 horsepower, an air-cooled rear-mounted engine and disc brakes at all four corners. The boxy, almost ugly R8 would become the basis for the stunning and slick Alpine A110. The transition from the already handsome A108’s design was made more dramatic with new body work — bigger fenders for the upsized wheels, twin rounded fog lamps set deep into the fascia, and a more powerful rear tail section consisting of new horizontal taillights, new air intakes on the flanks of the trailing edge and a wider stance to accommodate for the bigger engine. Though the aesthetics helped, these changes were primarily meant to send the A110 to the races.
    Thanks to its peerless handling and its impressive traction and speed, the A110 quickly became a winner. It took French rally races in the late ’60s and then in the 1970–1972 seasons it took numerous wins in the Championship for Manufacturers. One of its most significant wins was the 1971 Monte Carlo Rally. In 1973, the A110 entered in the World Rally Championship and became the world’s first SRC champion.
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    Technical Rundown

    In its first year, 1962, the A110 had a 1.1-liter four-cylinder engine with 95 horsepower. It also had a rigid steel chassis with fiberglass body construction for lightness, just like the A108. After winning several rallies in France in the late 1960s with iron-cast R8 Gordini engines, the car was fitted with the aluminum-block Renault 16 TS 1.5-liter engine — good for 138 horsepower and a top speed of 130 mph — along with two dual-chamber Weber 45 carburetors, five-speed manual gearbox, front suspension with wishbones and coil springs, rear swing axle suspension and four-wheel disc brakes.
    The fantastic handling could be attributed to its length, width and short three-and-a-half foot height with a low center of gravity. Other rally cars that would lose the tail end too easily were inferior to the A110’s balance and tractability. There wasn’t a road surface on which the A110 wouldn’t shine, and it was this capability that made it so dominant on the rally circuit, taking 1st, 2nd and 3rd place in the 1973 Monte Carlo Rally.

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    Why It Matters

    Renault’s decision to fully support the Alpine project was a brilliant move, putting them permanently on the rallying map. The fact that the A110 was based on a run-of-the-mill family car is noteworthy, but that it had a run as a dominant force in rally is what makes it legendary. A110 cars today are rare and coveted, largely thanks to the illustrious competition history behind it. An Alpine A110-50 supercar was built as a 50th anniversary homage to the original, which reflects the renown that the A110 rally car garnered in its brief, yet illustrious, racing career.


    GT TOUR Raymond Narac (IMSA Performance Matmut) : “Il ne faudra pas flancher”


    Cinq questions pour quatre (possibles) champions ! Avant la Finale sur le Circuit Paul Ricard, les 24 et 25 octobre, quatre équipages peuvent encore prétendre au titre de Champion de France FFSA GT 2015. Tout au long de la semaine, un pilote de chacun de ces équipages nous confie ses impressions avant ce rendez-vous décisif.
    par PR (Endurance-Info.com)
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    Après Mike Parisy, Morgan Moullin-Traffort et Arno Santamato, dernier volet aujourd’hui avec Raymond Narac. En quête d’un troisième titre personnel de Champion de France FFSA GT, qui serait aussi son second d’affilée, le pilote de la Porsche/IMSA Performance Matmut n°1 occupe actuellement, avec ses coéquipiers Olivier Pernaut et Sébastien Dumez, la tête du classement « pilotes ». Le trio compte 25 points d’avance sur l’équipage de la Ferrari/Sport Garage n°6, 31 sur celui de la Ferrari/AKKA-SP n°20 et 40 sur celui de l’Audi/Sébastien Loeb Racing n°3.
    Comment abordez-vous cette finale, tes coéquipiers et toi ?
    Nous l’abordons très simplement, comme n’importe quelle course de championnat. Il n’y a pas de stress, surtout pas ! Il y en aura suffisamment le jour-J. L’objectif sera de faire une très belle course le samedi, en étant sacré champion dès cette première journée, histoire d’être tranquille le dimanche. Mais tout le monde aura envie de faire de belles choses. Ce sont ceux qui ne commettront pas de faute qui auront le plus de chance d’obtenir un bon résultat.
    Quelles seront les clés de cette finale ? Qu’est-ce qui peut faire la différence ?
    De ne pas faire d’erreur, justement. Il ne faudra pas flancher. Faire une course rapide, mais sage, en évitant les coups durs. L’an passé, nous avions 25 points de retard avant la finale. Nous gagnons parce que les autres font des erreurs. La clé sera d’être serein, raisonnable, de ne pas prendre de risque. Il est vrai que c’est sans doute plus facile pour nous qui sommes dans une position favorable, avec notre avance. Cela dit, rien n’est fait. Nous devrons être vigilants.
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    Quels sont vos atouts dans cette course au titre ?
    Depuis le début de la saison, nous sommes ceux qui avons fait le plus de kilomètres. Cela prouve que nous avons été sereins, que nous n’avons pas commis d’erreurs, au contraire de certaines équipes. Nous n’avons sans doute pas l’équipage le plus rapide, mais nous avons une voiture fiable, avec, autour, un staff compétent, sérieux, excellent dans le choix des stratégies et dans le management. L’expérience accumulée au fil des ans est un réel atout. Nous avons gagné deux fois les 24 Heures du Mans (en GT2 et GTE), été deux fois Champions d’Europe (en FIA GT2 et ELMS), 3e du Championnat du Monde (GTE-Am)… L’équipe a fait ses preuves au plus haut niveau et elle restée la même depuis plusieurs années, avec des gens compétents comme notre team manager Franc Rava ou notre ingénieur Félix Barré, sur qui l’on peut se reposer. Et puis, nous bénéficions d’un trio de pilotes de qualité, qui s’entend bien. En début de saison, certains auraient pu avoir des doutes sur Olivier Pernaut, mais il les a rapidement levés. Quant à Séb (Dumez), je le connais bien puisque nous avons été titrés en GT2 en 2005.
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    La finale de l’an dernier a montré que tout était possible. Quels enseignements en tires-tu ?
    Au regard de ce qui s’est passé, nous devons rester méfiants. Cette fois, je suis dans la position inverse, celle du leader. L’an passé, c’est moi qui avais 25 points de retard. Les autres avaient fait des erreurs et nous en avions profité. Dans ces moments-là, la pression peut jouer un rôle, venir vous perturber. Moi, ce genre de choses ne m’atteint pas trop, mais il va falloir rassurer tout le monde, éviter de subir cette pression. Nos points d’avance doivent nous permettre d’aborder cette finale sereinement, tout en restant vigilants. Nous arriverons de manière très humble, en nous disant que tout reste à faire.
    Quel serait le scénario idéal pour vous ?
    Comme je le disais, l’idéal serait de réaliser une très bonne course le samedi. Si nous pouvons être sacrés champions dès la première course, ce sera parfait. Il faudra donc que nous finissions devant nos trois concurrents, la Ferrari n°6, la Ferrari n°20 et l’Audi n°3.
             

    PORSCHE CARRERA CUP FRANCE Paul Ricard : Sébastien Loeb Racing en lice pour les trois titres


    par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)
    Porsche Cup 2015 Navarra
    Le Sébastien Loeb Racing aborde en leader la finale de la Porsche Carrera Cup France, ce week-end (24-25 octobre), sur le circuit Paul Ricard. En associant panache et régularité depuis le début de saison, la structure de Soultz-Sous-Forêts se présente en effet en tête dans les trois tableaux : classement général avec Maxime Jousse, Gentlemen Drivers avec Christophe Lapierre, et Teams. Trois leaderships qu’il conviendra de conserver à l’heure de la distribution des couronnes.
    Mais si Max et Christophe ont un statut à défendre, Joffrey de Narda et Roar Lindland partiront dans la position du chasseur, avec l’unique volonté de se hisser sur la plus haute marche du podium. Pour conclure sur une excellente note, mais également étoffer le palmarès de l’écurie de Sébastien Loeb et Dominique Heintz.
    Depuis le soir de la première manche, Maxime Jousse a entrepris une remontée qui l’a mené aux avant-postes à l’issue du meeting de Magny-Cours, fin août. Il y a réalisé un véritable carton plein avec deux poles et deux victoires, puis a joué – bien – placé à Navarra. Des prestations qui lui valent aujourd’hui de devancer de 19 points son plus proche rival. « Avec quatre podiums en cinq courses, dont deux victoires, ça nous sourit bien depuis la rentrée », atteste le Varois. « Le Paul Ricard est un circuit que je connais bien et que j’apprécie particulièrement, par ses caractéristiques et parce que je roule à domicile. Ma famille, mes partenaires et mes amis seront présents pour me soutenir et cela décuple ma motivation pour leur offrir ce titre. Je n’ai pas commis la moindre erreur depuis le début de saison, donc je ne compte pas aborder ce meeting différemment. Avec l’aide du Sébastien Loeb Racing, il me faudra avant tout soigner les qualifications pour effectuer une partie du boulot, puis disputer deux bonnes courses. Conclure avec la couronne, assortie d’au moins une victoire, ne serait-ce pas une belle manière de justifier un sacre ? »
    Joffrey de Narda ajoutera-t-il pour sa part une deuxième ligne à son palmarès en Porsche Carrera Cup France ? En progrès constant depuis le début de saison, le benjamin du plateau a confirmé les espoirs placés en lui en signant un premier succès à Navarra. Premier succès qui en appelle d’autres. Au classement des Gentlemen Drivers, où il apparait en deuxième position, Roar Lindland affichera quant à lui des ambitions identiques s’il veut retourner la situation en sa faveur.
    Le Norvégien doit néanmoins compter sur une incroyable malchance de son équipier et leader Christophe Lapierre, à qui il suffit de terminer l’une des deux manches pour coiffer une troisième couronne, après celles de 2012 et 2013. « J’aborde cette finale avec un état d’esprit totalement opposé à celui de l’an dernier puisqu’à l’époque, je n’avais plus aucune chance d’être titré », se souvient le Montilien, devenu depuis recordman de victoires dans la catégorie.« Je sais que mes rivaux auront à cœur de briller et, sur ce meeting où je serai entouré d’amis et de nombreux partenaires, mon objectif consistera d’abord à rester en dehors de tout contact et voir le drapeau à damiers. J’aurais ainsi le champ libre le dimanche pour, non seulement décrocher un nouveau succès, mais également tenter de me hisser le plus haut possible au général. Je compte bien respecter ce tableau de marche, et je sais que tous les éléments sont réunis ! »
    A l’occasion de cette finale, les quatre pilotes connaitront le verdict des qualifications dès le vendredi 23 octobre à 15h35, avant de profiter d’une bonne nuit de repos pour affronter les deux courses certainement les plus importantes de l’année. Le départ de la première manche sera ainsi donné samedi 24 octobre à 12h55 et la deuxième dimanche 25 octobre à 15h25.

    Beirut Cafe Racers: In Benzin Veritas


    Above the door of the Beirut Cafe Racers garage is a chalkboard sign that reads “In Benzin Veritas” - Truth in Gasoline. Founded in 2014 by two young motorcycle enthusiasts - Rami Bishara and Ali Wehbe - Beirut Cafe Racers has in one-year become a hub for riders attracted to the no-nonsense approach of the shop owners - and the stripped down attitudes of the cafe racer culture. Filmmakers Jackson Allers and Andrew Cagle trace a 2-month arc on the build-out of a Yamaha SR400 as a backdrop to the more poignant story of the challenges and triumphs Rami and Ali face building such bikes in Lebanon.

    Beirut Cafe Racers: In Benzin Veritas from Beirut Cafe Racers on Vimeo.

    Can you spot what’s missing?


    No, not that. We’re talking about the bike – a wonderfully uncluttered take on a ’79 CB550. Look again, because when Old Empire Motorcycles (OEM) built the Ripon, its first custom bike based on a Japanese four, the rear dampers were completely removed.

    Smooth rear end

    The result was to give the bike a distinctively simple suspension set-up. “We had to break out the maths geometry set,” says OEM, admitting that the Ripon was a complex thing to create, if not to look at. “There was plenty of room under the engine for a pull-type shock, so we duly obtained a secondhand Buell, created a jig that mounted off the bench and began extending the frame. After many trials and tweaks we got it bang on and couldn’t be more chuffed with the overall classic, uncluttered look it now possesses.”
    We really love the Ripon’s combination of classic lines and radically restyled elements – especially that unfussy rear end.
       
    Photos: Old Empire Motorcycles
    You can find hundreds of motorcycles listed for sale in the Classic Driver Market.

    Sky's The Limit Dronography

    Rodsmith MotorcyclesShare this video with someone who loves motorcycles. Craig Rodsmith work is amazing.
    Posted by Sky's The Limit Dronography on jeudi 15 octobre 2015

    WRC Rally de Espana; Une dernière Fiesta / Fiesta shootout


    La finale du Drive DMack Fiesta Trophy 2015 se joue ce week-end au Rally RACC-Catalunya. L’épreuve compte double et sept pilotes peuvent encore mathématiquement être titrés et prétendre à une saison WRC-2 en Ford Fiesta R5 l’année prochaine.
    Qui succèdera à l’Estonien Sander Pärn au palmarès du Fiesta Trophy ? A l’aube de cette dernière manche 2015, Marius Aasen, Max Vatanen, Tom Cave, Ghislain de Mevius, et dans une moindre mesure Mats Van den Brand, Kevin Van Deijne et Gus Greensmith peuvent encore être titrés.
    La saison 2015 fut très excitante dans cette série où débutait la nouvelle Ford Fiesta R2 1000 cm3 turbo Ecoboost développée par M-Sport. Treize pilotes de neuf nationalités différentes ont été retenus pour participer à cette campagne 2015. Parmi eux, six « redoublants »  dont Tom Cave, Max Vatanen, Ghislain de Mevius et Marius Aasen qui ont animé les courses.
    Le Finlandais Max Vatanen a remporté la manche portugaise, Marius Aasen s’est imposé en Pologne, puis le Britannique Tom Cave en Finlande et le Belge Ghislain de Mevius en Allemagne. Avant cette finale ce week-end en Espagne, le Fiesta Trophy a donc connu quatre vainqueurs différents en quatre épreuves !
    Dernière manche 2015, le Rally RACC-Catalunya sera d’autant plus déterminant qu’il compte double. En effet, 25 points seront attribués vendredi soir au vainqueur de la première étape sur terre et 25 points au vainqueur de la partie asphalte dimanche. A cela, il faut ajouter un point par spéciale remportée. Avec 73 points à distribuer, sept pilotes sont encore mathématiquement « titrables ».
    En réalité, le titre 2015 devrait revenir à l’un des quatre leaders. Avec 87 points, le Norvégien Marius Aasen est en meilleure position. Il compte 5 points d’avance sur Max Vatanen. Tom Cave est à 17 points du leader et Ghislain de Mevius à 26 unités. Les Néerlandais Van den Brand et Van Deijne et le Britannique Greensmith ont environ 40-50 points à remonter.
    Pour mettre toutes les chances de son côté, Marius Aasen a roulé depuis le Rallye d’Allemagne et remporté le titre de champion de Norvège 2-roues motrices. Tom Cave était également en course le week-end dernier (abandon, boîte de vitesses), Max Vatanen a effectué une séance d’essais et Ghislain de Mevius s’est entraîné en karting pour l’asphalte catalan...
    Pour cette dernière manche 2015, son frère Guillaume de Mevius, l’Australien Brendan Reeves et l’Irlandais du Nord Jon Armstrong feront un one-shot dans la série.
    La saison 2016 devrait elle aussi s’articuler autour de cinq à six épreuves, toujours avec des Fiesta R2 1.6-Litre turbo. La carotte devrait encore être des rallyes WRC-2 en 2017.
    The last round of the 2015 Drive DMack Fiesta Trophy takes place this week in Catalonia. Double points are up for grabs in Salou and seven drivers are still in contention to win a WRC2 programme in a Ford Fiesta R5 next season.
    With only one round of the 2015 Fiesta Trophy remaining, Marius Aasen, Max Vatanen, Tom Cave, Ghislain de Mevius, Mats Van den Brand, Kevin Van Deijne and Gus Greensmith are all hoping to follow in the footsteps of Estonian Sander Pärn.
    The 2015 series – which is based on the new, M-Sport-developed one-litre Ecoboost turbocharged Ford Fiesta R2 – has been particularly close. The entry list of 13 drivers of nine different nationalities includes six second-timers, notably Tom Cave, Max Vatanen, Ghislain de Mevius and Marius Aasen who have emerged as the year’s front-runners.
    Vatanen won in Portugal, Aasen came first in Poland, Cave topped the order in Finland and de Mevius was the youngster to beat in Germany.
    There is a double allocation of points available at the final round in Catalonia, with 25 to be awarded after Friday’s gravel action, plus another 25 going to the winner of the weekend’s asphalt phase. A point will also be awarded for each stage victory which makes an overall total of 73 points up for grabs. On paper, seven drivers can still collect the top prize.
    More realistically, the ‘title’ is likely to go to either Norway’s Aasen (87 points), Finnish youngster Vatanen (82), Briton Cave (80) or Belgium’s de Mevius (61). Dutchmen Van den Brand and Van Deijne and Briton Greensmith all have around 40 to 50 points to make up.
    Aasen has been active since Rallye Deutschland and recently clinched Norway’s 2015 two-wheel drive championship. Cave was in action last weekend (retired, gearbox) Vatanen has been testing and de Mevius has been karting to prepare for the Catalonian fixture.
    The latter’s brother Guillaume, Australia’s Brendan Reeves and Ulsterman Jon Armstrong are all making one-off appearances in the series in Spain.
    The 2016 Ford Fiesta Trophy is likely to feature five or six rounds, still with the same car and with the promise of a WRC2 programme in 2017 for the victor.

    Black......


    jeudi 22 octobre 2015

    GEAR GUIDE #66


    Gear Guide Template 66
    For Gear Guide #66 we have indulged in a feast of brown leather… Gloves from Davida, boots from TCX and a beautiful satchel from DragonBear.
    DavidaA

    D4VI9A NUT BROWN LEATHER SHORTY GLOVES

    Tweed pressed, shirt starched, helmet polished to a mirror sheen, the entire ensemble carefully curated for what is without doubt the most stylish day in the motorcycling calendar, The Distinguished Gentleman’s Ride. And then you go and ruin the entire facade with your dirty daily gloves or a pair of bright yellow mittens more suited to gardening than riding a motorcycle. But for this year’s ride I had a solution; my latest gloves from Davida have proved more than capable for the rigors of daily duties with the added bonus of being sartorially suitable for this most distinguished of days. (…Plus they matched my brown boots, seat & grips)
    DavidaB
    In the classic style of short military gloves the Nut Brown Shorty Gloves come with clean lines, minimal fuss and maximum comfort. They are made from smooth, supple cowhide with Kevlar thread stitching and lined with comfy fleece creating a simple and uncomplicated glove with great dexterity.
    Davida D
    They are more defined by the features they lack than those they have, a simple yet functional double popper adjusting strap being the only real feature of note. On the road they are as unobtrusive as gloves can be offering great feel with ample warmth to extend their usage to the majority of British days.
    Davida C
    As a long time fan of Davida lids the build quality of the gloves is of the high standard I expected, their products just work pure and simple whilst adding a touch of class and quality to any motorcycling wardrobe. If only the rest of my DGR attire worked as well as my gloves then I could ride dapper all the time. They’re also pretty warm now that there’s a distinct chill in the air.

    GET THEM HERE



    TCX z

    TCX X-BLEND BOOTS.

    TCX was born out of the merger between Oxtar and Novation.  My previous experience with Oxtar was a pair of their mighty Maxi-Enduro boots which were stiff and heavy as hell (albeit perfect for their requirements). So I was pleasantly surprised when slipping on the X-Blend for the first time to find them of a completely different ilk.
    tcx p
    These leather beauties are soft, sophisticated and light day-to-day, drop the bike and walk around the city while maintaining the levels of protection that made TCX the first motorbike boot manufacturer to earn CE certification. Usually I travel with a pair of trainers in my backpack and wear a bike only pair of boots for the ride.  I’ve had the luxury of never needing to be too formal and so my feet are unaccustomed to such style but I’m finding these so comfortable that I’m starting to look like an adult all day long.
    TCX y
    I’m reviewing the suede brown version. They’ve rebuffed autumn’s weather well so far and have maintained their good looks despite the heavy dust and dirt veneer that’s accumulating as I traipse around a certain Shoreditch building site. If you’re looking for something you can happily throw on with a pair of jeans or semi-formal trousers then these are perfect, it still might be a while until I find something that encourages me to put on a suit though…
    Reviewed by Barney Van Someren.

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    Dragon B

    DRAGONBEAR LEATHER

    The best thing about bespoke is getting what you actually want, exactly as you’d like it, with no compromise, and hopefully doing the job you intend it to do. I spend most of the time on my bikes carrying stuff. Having to hump shit on a motorcycle irritates me at the best of times, as almost always acts as an uncomfortable intrusion, compromising the potential enjoyment of the ride.
    dragon D
    Dragon A
    I have searched the length of the land and beyond to find the right bag. I’ve got a pretty good rucksack, but I wanted something reasonably smart that I could throw over my shoulder at work and didn’t make me look like a courier, and carry everything I need on my journey to and from wherever my job may take me. A seemingly impossible task.
    Until I came across Dragon Bear. Raquel and Al make bespoke leatherwear to order, from dog collars, to book binders, to bags. A costume designer and prop builder in the film industry, they’re used to working quickly, to a high standard, and to an exacting brief. They’d already built me a great looking and extremely durable belt and Leatherman case, so I knew the quality of their work.
    I spoke to them about my needs, and they came up with a design that more than met my expectations. They chose a piece of ethically sourced hide that was rough edged and with the unique branding intact. The construction is tough hand stitched, with high quality fittings and a thick adjustable shoulder strap with an oversize support. The courier style unfinished flap is fastened by a cross strap, which leaves the front of the bag unmolested. The leather is  oiled to make it highly water resistant.
    This is an incredibly handsome bag, but one which will last a lifetime. It’s extremely comfortable on and off the bike, and can be strapped close when riding. It can carry a heavy load made bearable by the thick strap that distributes the weight evenly.
    Dragon C
    Al and Raquel will design and build a bag to order. They can also make you belts, pouches, and any kind of strap you may need. Bespoke isn’t cheap, but getting what you want is a premium worth paying for. They are currently designing a set of panniers for my XJR1300 build.
    Reviewed by Gareth Roberts.