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    dimanche 27 janvier 2013

    Le Chip Ganassi Racing était le plus fort à Daytona



    Il aura fallu attendre le dernier quart d'heure pour connaître le dénouement de cette 51ème édition des 24 Heures de Daytona, aussi bien en Daytona Prototype qu'en GT. Tout a finalement été une histoire de « splash & dash » dans les ultimes minutes. A l'issue d'une course épique, la victoire est revenue une nouvelle fois à la BMW-Riley du Chip Ganassi Racing with Felix Sabates après 709 tours, ce qui permet à Scott Pruett de décrocher un cinquième succès en Floride aux côtés de Juan Pablo Montoya, Charlie Kimball et Scott Dixon. Il aura manqué un rien (22s) à la Corvette DP/velocityWW de Max Angelelli, Ryan Hunter-Reay et Jordan Taylor pour mettre fin à la suprématie Ganassi. En GT, la course a là aussi été de toute beauté avec au final un doublé pour les Audi R8 GRAND-AM, Filipe Albuquerque, Edoardo Mortara, Oliver Jarvis et Dion von Moltke l'emportant de peu devant Frank Stippler, Ian Baas, René Rast et Marc Basseng, soit Alex Job Racing devant APR Motorsport.

    Et de cinq pour Ganassi Racing with Felix Sabates...
    La dernière heure n'aura pas été de tout repos pour les différents protagonistes encore en lutte pour la victoire. C'est sous un régime de neutralisation qu'ont débuté les 60 dernières minutes, le temps d'évacuer des morceaux de gomme sur la piste. Ils étaient alors quatre roues dans roues en DP avec Angelelli (Corvette DP/VelocityWW), Montoya (BMW-Riley/Ganassi), Barbosa (Corvette DP/Action Express Racing) et Allemendinger (Ford-Riley/Michael Shank Racing). En GT, Rast (Audi/APR), Lazzaro (Ferrari/AIM) et Lietz (Porsche/Magnus) étaient au coude à coude. Dès le restart, AJ Allmendinger était poussé hors de la piste par Joao Barbosa avant d'écoper dans la foulée d'une pénalité d'une minute. Juan-Pablo Montoya prenait rapidement la poudre d'escampette avec une avance de 8 secondes sur Angelelli à l'entame de la dernière demi-heure. Ganassi Racing et Velocity ont un peu joué au chat et à la souris pour savoir à quel moment allait arriver le splash & dash, et surtout d'attendre une éventuelle neutralisation qui ne viendra pas. A dix minutes du drapeau à damiers, rien à l'horizon, et c'est deux minutes plus tard que l'ancien pilote de F1 s'est engouffré dans la voie des stands, un tour avant son homologue de la Corvette DP. Juan-Pablo Montoya n'avait plus qu'à aller cueillir la 5ème victoire du Chip Ganassi Racing aux 24 Heures de Daytona. La dernière marche du podium est revenue à la Ford-Riley/Michael Shank Racing de Allmendinger/Wilson/Pew/Negri/Ambrose, à 55 secondes.

    Audi/Audi/Ferrari en GT...
    « Chaque tour durant la dernière heure a été un tour de qualification » nous confie Filipe Albuquerque, pilote de l'Audi/Alex Job Racing. Les derniers instants ont été très intenses pour les cinq premiers de la catégorie GT. Alex Job Racing a bien failli faire le hold-up avec l'Audi de Albuquerque devant la Porsche de Faulkner. Il ne fallait pourtant pas oublier la Porsche/Magnus de Lietz, l'Audi/APR de Rast, l'Audi/Rum Bum de Winkelhock et la Ferrari/AIM de Wilkins. A 20 minutes du terme, le stand Magnus fait passer le message à Richard Lietz de ne plus se préoccuper de la consommation et de tout donner. L'Autrichien était alors sous la pression de l'Audi de René Rast, très incisif avec un Markus Winkelhock au contact. Alex Job Racing faisait arrêter ses deux autos au même moment, si bien qu'à six minutes de la fin, Albuquerque menait un train d'enfer devant trois furieux, à savoir Winkelhock, Lietz et Rast. Le quatuor a offert une bagarre de haute volée, personne ne voulant lâcher le morceau. On pensait les positions figées au baisser du drapeau blanc où les trois Audi s'acheminaient vers un triplé avec Albuquerque, Rast, Winkelhock devant la Porsche/Magnus, mais Winkelhock et Lietz ont dû mettre un terme au train d'enfer, en proie à une panne d'essence. De trois Audi sur le podium, on passait alors à deux et la Ferrari 458 Italia /AIM Autosport de Assentato/Longhi/Stanton/Lazzaro/Wilkins n'en demandait pas tant pour s'installer sur la dernière marche du podium. L'équipage Balzan/Beretta/Pier Guidi/Frezza est aussi grimpé de deux places sur la Ferrari 458 Italia/Scuderia Corsa Michelotto pour échouer au pied du podium. La première Porsche s'est finalement classée 5ème, avec celle du Magnus Racing de Armindo/Lietz/Potter/Lally.

    Pour les débuts de la catégorie GX, les Porsche ont été à la fête avec un triplé. La Porsche Cayman/Napleton de Donohue/Lewis/Norman/Canache a connu une course tranquille en menant de bout en bout. L'équipage a devancé de six tours celle du Bullet Racing de O'Young/Rogers/Clay/Thomas/Thomson et BGB Motorsports de Davis/Eversley/Mosing/Foss/Tecce.

    Le classement de la course est ici.

    by Laurent Mercier(Endurance-info.com)

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     more on Miss LIZ

    Twiggy: A reduced-weight phenomenon



    Everyone knows Twiggy. The freckled, startlingly skinny, crop-haired, 16-year-old schoolgirl who became a fashion sensation and the symbol of a new kind of woman with a peculiar, androgynous sex appeal. Almost overnight, the Bambi-eyed model changed the way feminine beauty was defined…

    She was flat-chested, her arms were rail-thin and her hair was cut like a boy’s. Twiggy was indeed the total opposite of what a woman was expected to look like during the 60s. In fact, her body was so slender that it was hard to tell whether she was a woman or a child. Yet that didn’t stop her from becoming a sex symbol as well as an international fashion phenomenon of unprecedented magnitude.




    Unsurprisingly, Twiggy – with her heavily mascaraed eyelashes and almost prepubescent figure – is often considered synonymous with the swinging sixties: a turbulent decade that witnessed both Beatlemania and the birth of the mini-skirt. In fact, much of the sexuality of the 'mini' had its origins in the innocent, ‘Lolita-like’ image of the long-legged Twiggy.

    When the 60s ended, however, Twiggy’s modelling career, launched only a few years earlier, came to an end as well. And the mini? Well, it went on to have a successful career in fashion and even today, almost 50 years later, it continues to demand attention from women and men alike.

    Text:Laura Leivo(ClassicDriver)
    Photos:Getty Images

    24H DAYTONA, H+22 : LA FORD-RILEY GANASSI #01 CONTRÔLE.



    A deux heures du terme de ces 24 Heures de Daytona 2013, le Chip Ganassi Racing with Felix Sabates contrôle la course avec Scott Pruett toujours aux commandes. Le poleman ne compte toutefois que 22 secondes d'avance sur Max Angelelli au volant de la Corvette DP/VelocityWW. L'Italien vient tout juste de ravir la deuxième place à Marcos Ambrose (Ford-Riley/MSR) avec un dépassement osé en plein trafic sur le banking. Mike Rockenfeller cravache sur la Corvette DP/Action Express Racing, l'Allemand n'étant qu'à 29 secondes de la tête. Une autre Corvette DP est dans le même tour que le leader, Antonio Garcia (Spirit of Daytona) étant relégué au-delà de la minute. La Ford-Riley/Starworks a été poussée il y a peu dans son garage, Allan McNish connaissant des soucis d'accélérateur. La #02 de Ganassi a connu une grosse alerte, Dario Franchitti tombant en panne sur le circuit. C'est lors de la neutralisation pour dégager la Ford-Riley qu'on en a profité pour changer les freins sur la voiture sœur.

    En GT, la lutte pour les premières places est de toute beauté avec actuellement l'Audi R8 GRAND-AM de René Rast aux commandes, devant la Porsche 911 GT3 Cup /AJR de Bleekemolen, la Ferrari/AIM d'Anthony Lazzaro, l'Audi R8 GRAN-AM de Markus Winkelhock et la Porsche/Magnus Racing de Nicolas Armindo qui vient tout juste de repartir en piste. C'est bien ce dernier qui devrait retrouver la tête sous peu. L'Audi R8/AJR est encore en course, mais une pénalité lui a fait perdre le contact avec la tête, avec une 7ème place, derrière la Ferrari/Scuderia Corsa de Pier Guidi.

    by Laurent Mercier(Endurance-Info.com)