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    vendredi 27 février 2015

    MOTO GP ; Baz termine les tests de Sepang sur une note positive


    Bien qu’il n’ait pas réussi de tour rapide, le Français était satisfait d’avoir gagné en aisance sur sa Forward-Yamaha Open.

    Loris Baz, Forward Racing, MotoGP Sepang Test II

    Loris aurait aimé être un peu plus rapide à l’occasion de ces essais malaisiens, mais si la température très élevée n’a pas aidé, il n’en a pas moins progressé dans la compréhension de sa Forward-Yamaha Open sur laquelle il se sent maintenant plus à l’aise, plus naturel.
    Le meilleur temps de l’ensemble de ces trois jours d’essais est revenu au Champion du Monde MotoGP™ en titre Marc Márquez, qui s’est également mis en valeur en réalisant une impressionnante simulation de course avec de nombreux tours en 2’00. Il précédait Jorge Lorenzo et Cal Crutchlow, alors que Valentino Rossi se plaçait en cinquième position.
    Les chronos dans l’ensemble étaient un peu moins rapides que lors des premiers tests de Sepang de début février, en raison essentiellement d’une température de la piste atteignant 60°, ce qui ne s’était pas vu depuis de nombreuses années selon les techniciens Bridgestone.
    Alors que Loris rentrait ce mercredi soir en Europe, il participera du 14 au 16 mars à la prochaine séance d’essais MotoGP™ sur le circuit de Losail, où se déroulera le 29 mars la première manche du Championnat du Monde.
    Loris Baz : « Cette troisième journée s’est déroulée dans la continuité de celles de lundi et mardi, c’est-à-dire un peu compliquée. Je me suis bien appliqué pour faire un bon temps lors de la matinée, mais peut-être un peu trop. J’étais sans doute trop tendu et je ne parvenais pas à rouler comme je l’aurais souhaité. »
    Loris-Baz-Forward-Racing-MotoGP-Sepang-Test-II-583510
    « C’est un peu le bilan de ces trois jours : on n’a pas réussi à faire ce qu’on voulait, mais il y a néanmoins des aspects positifs intéressants. Ainsi mon style de pilotage est désormais plus naturel qu’il ne l’était lors des premiers tests de Sepang début février. J’ai moins à forcer. »
    « Les temps ne sont pas venus, et on a beaucoup parlé hier (mardi) avec l’équipe des endroits où je perdais du temps pour corriger aujourd’hui (mercredi). Mais j’en ai perdu ailleurs en ne réussissant pas à tout mettre ensemble pour faire des tours rapides. Je me concentrais trop sur les endroits où je perdais du temps… ce qui m’en faisait perdre ailleurs. »
    « Ces trois jours ont été un peu moins positifs que Sepang 1 et j’ai hâte d’être au Qatar, sur un circuit que je préfère, pour continuer le développement dans un environnement où les conditions seront moins changeantes. »
    Loris-Baz-Forward-Racing-MotoGP-Sepang-Test-II-583454

    MotoGP : les pilotes officiels testent les pneus Michelin à Sepang / factory riders test Michelin tyres at Sepang


    A l’issue du deuxième test officiel de la saison 2015, les pilotes MotoGP ont bénéficié d’une journée supplémentaire sur le circuit de Sepang en Malaisie pour tester les pneus Michelin qui équiperont le plateau dès 2016.
    La majorité des pilotes, dont Marc Márquez (Repsol Honda) et Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP), a ainsi pu essayer pour la toute première fois la gamme de pneus Michelin.
    Quatre pneus avant, différents par le profil et par la structure, et trois solutions arrière étaient proposés. L’objectif était de recueillir les avis des pilotes très tôt dans la saison afin de recentrer le travail dans la bonne direction.
    Les pilotes ont enchaîné les tours sous une température élevée (34°Cdans l’air et 55°C sur la piste). Certains ont réalisé des simulations de course pour tester la longévité et l’endurance des pneus.
     « Les tests d’aujourd’hui se sont déroulés de façon positive » a déclaré Nicolas Goubert, directeur technique et directeur adjoint de Michelin Motorsport, à l’issue de cette séance. « Les pilotes ont plébiscité la constance des pneus Michelin au fil des tours. Ils nous ont aussi confirmé que nous sommes sur la bonne voie au niveau du développement. Les solutions arrière ont  fait l’unanimité, le grip a été jugé exceptionnel. Les pilotes ont choisi une version du pneu avant Michelin plus large, très efficace surtout en freinage. Cette solutions a été préférée à une version plus étroite, qui aurait, quant à elle, favorisé la vitesse en virage. »
    L’ensemble de l’équipe de développement Michelin Motorsport va désormais poursuivre son travail de développement en tenant compte des précieux enseignements de cette séance de roulage.
    La prochaine séance d’essais Michelin se déroulera le 23 mars au Qatar avec la présence de Michele Pirro (Ducati), Hiroshi Aoyama (Honda) et Michael Laverty (Aprilia).
    Les pilotes officiels chausseront de nouveau les pneus Michelin au mois de juin au Mugello à l’issue du Grand Prix d’Italie.
    After the second official pre-season test in Malaysia, the MotoGP riders stayed on for an extra day’s work with Michelin on the tyres that will feature in bike racing’s premier competition from 2016.
    For Marc Márquez (Repsol Honda), Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) and many of their colleagues, it was their first opportunity to try the new Michelin solutions.
    The French firm had brought four different fronts (different profiles and constructions) and three different rear tyres, the aim being to harvest early feedback from the riders and, based on this information, prepare a programme for the next step of the process.
    The teams benefitted from clear weather and hot temperatures (air: 34°C / track: 55°C), and some used the session to perform some long runs to evaluate the tyres’ longevity.
    “Thetestwas very positive,” reports Nicolas Goubert, Technical Director and Deputy Director of Michelin Motorsport. “The riders praised the consistency of the Michelin tyres they tried and confirmed that our development work is heading in the right direction. They unanimously described the grip of the rear tyres as ‘exceptional’. As for the solutions for the front, the riders singled out a wideroption which they preferredovera narrow version that would have favoured cornering speed« Les tests d’aujourd’hui se sont déroulésde façon positive. Les pilotes ont plébiscité la constance des pneus Michelin au fil des tours. Ils nous ont aussi confirmé que nous sommes sur la bonne voie dans le développement de nos pneus.Les pneumatiques pour l’arrière ont  fait l’unanimité puisque leur grip a été jugé exceptionnel.Parmi les solutions pour l’avant, les pilotes ont choisi une version du pneu Michelin plus large, très efficace surtout en freinage. Ces pneus ont été préférés à une version plus étroite, qui aurait, quant à elle, favorisé la vitesse en virage.”
    Michelin Motorsport’s development experts will continue their work with another test in Qatar on March 23 when Michele Pirro (Ducati), Hiroshi Aoyama (Honda) and Michael Laverty (Aprilia) will be on duty.
    The factory riderswill get their next opportunity to lap on Michelin rubber inJune,at Mugello,rightafter theGran Premio d’ItaliaQuant aux pilotes officiels, pour les retrouver il faudra patienter jusqu’au mois de juin, quand une séance d’essais Michelin se déroulera après le Grand Prix de Mugello, en Italie.

    Lords of the Atlas - Mexican 1000 by ICON Motosports

    Team ICON RAIDEN hammers two Triumph Tiger 800xc's across 1000 miles of Mexican desert in the NORRA Mexican 1000


    A pleasant surprise - thoughts on the recent Tudor revival


    What is Tudor? A stand-alone brand with its own story to tell, or merely a ‘poor man’s Rolex’? Author Simon de Burton explains why the recent revival of Tudor watches is a most pleasant surprise...

    Enjoying a spectacular Tudor revival - without neck ruffs

    I don't know what's happening in your particular part of the world, but here in Britain we're enjoying a spectacular Tudor revival - not in the sense that we're all wearing neck ruffs, beheading our wives and dancing to Greensleeves, more that we are becoming re-acquainted with the relevance of the name ‘Tudor’ to watch-making. The reason is that Tudor watches are again available in the UK after an 11-year absence, a situation that was rectified six months ago with the opening of no fewer than 102 outlets simultaneously in and around these shores, with a further 100 retailers offering the brand in the U.S and more in Europe – which is inevitably causing ripples in the €2,000 - €5,000 sector of the luxury watch market, previously dominated by brands such as TAG Heuer and Longines.

    What exactly is Tudor?

    But what exactly is Tudor? A stand-alone brand with its own story to tell, or merely – as some like to call it – a ‘poor man’s Rolex’? For those who are uncertain of its heritage, Tudor can be traced back to 1926 but was only officially launched as Tudor SA by Rolex founder Hans Wilsdorf 20 years later. Having established Rolex in 1908, Wilsdorf hit on the idea of introducing a brand that would sell watches with a similar standard of dependability to his Rolex models but at a more affordable price.

    As tough as a Rolex

    It was not until the 1950s, however, that Tudor began to gain traction through its waterproof 'Oyster' and 'Oyster Prince' models that proved themselves to be every bit as tough as the Rolex pieces from which they were derived, notably when used as official equipment for gruelling missions such as the Royal Navy's year-long British North Greenland Expedition of 1952. Indeed, period advertising majored on the strength of Tudor products, showing them being used by suitable 'blue collar' types such as motorcyclists, riveters and road-menders. "If your aspirations are higher than your bank balance," ran the text, "go to your nearest Rolex jeweller. Ask to see the beautiful new Tudor Oyster Prince, in stainless steel with matching expanding bracelet."

    Almost forgotten

    By the 1960s, the robustness of Tudor watches led to the introduction of the shield symbol, with chronograph models designed to appeal to sporting drivers being launched at the start of the 1970s. Three decades later, however, the Tudor name had been virtually forgotten in the west and it gradually ceased to exist in several key markets, even pulling out of the U.S. in 1995 – leading to a point when a remarkable 98 per cent of the brand’s business was done in China.

    Picked up by collectors

    Lately, however, the appeal of classic Tudor models has been picked up by collectors and demand has grown worldwide for the latest models which – thanks to the deft touch of Morgan-driving creative director Davide Cerrato – are widely considered to be among the coolest watches currently on the market. Although comparable in quality to the products of sister brand Rolex, Tudor's creations use less sophisticated movements and case components but are certainly as good as Rolex models from, say, 10 or 15 years ago. And, just as Wilsdorf always intended, they remain temptingly affordable. The company might still operate in the giant shadow of its bigger brother but, as I sit here typing, the Heritage Black Bay wrapped around my left wrist looks far from second-rate and I’m trying to resist the urge to add to my collection with a Heritage Chrono.

    Basking in sunshine for a long time to come

    And, with the range as strong as it is today and the word on the street suggesting that Tudor is preparing to launch its first, in-house movement, it's one brand that looks set to be basking in sunshine for a long time to come. So, if Tudor’s passed you by, check it out. You'll be pleasantly surprised.
    Photos: Tudor
     

    A guide to investing in BMW’s classic café racers


    Motorcycle dealer and enthusiast Toby Aichele has an excellent knowledge of the classic bike market. In our new series on classic motorcycles, the expert tells us which machines offer the best investment potential...
    When compared to the classic car market, the classic bike scene lags behind; both in terms of the way prices have increased in the past few years, and in its media profile. Whereas perfect condition in the bike market is extremely important, the hype surrounding classic cars means that even examples in terrible condition can fetch sky-high prices.
    In the main, classic motorcycles rarely sell for over 100,000 euros at auction, but there are a few exceptions to this, including legendary bikes such as the Brough Superior, the Vincent Black Shadow, and the MV Agusta 750 S.

    The influence of the growing café racer scene

    Of course, classic motorcycles have a much smaller target audience than their four-wheel brethren, almost by definition, because there are fewer bike riders than car drivers. After all, almost everybody can drive a car. Still, it has always surprised me that there can be a collection of BMW automobiles without the marque’s two-wheeled icons, regardless of whether the owner has a motorcycle licence or not.
    But let’s not forget the target group in question. A few years ago the motorcycle market was virtually extinct, with the younger generation showing practically no interest at all. But all this has changed thanks to the burgeoning café racer scene, which has made riding a classic motorcycle an extremely stylish thing to do. A café racer is a bike that has been customised to be reminiscent of the racing machines of the 1960s, featuring clip-on handlebars, bench seats and elongated fuel tanks.
    And now, classic British bike brands – think Matchless, AJS and Norton – have become fashion labels in their own right. Top bike manufacturers such as BMW often collaborate with fashion brands that include Belstaff and Roland Sands Design. This trend in customising bikes has helped define some of BMW’s model strategies, as evidenced in the styling of the recent R Nine T, the first batch of which sold out in a matter of weeks.

    The impact of BMW’s 100th anniversary

    The fact that it’s BMW’s 100th anniversary in 2016 has certainly had an impact, too. Custom-bike builders such as Blitz in Paris, Uran Motor in Berlin and El Solitari in Spain have all produced their own interpretations of the new BMW Café Racer, and displayed them at events such as the Concorso d'Eleganza Villa d'Este in Como, and Wheels and Waves in Biarritz.  This brings me to our first investment tip: look out for bikes built by BMW tuners of the Sixties, Seventies and Eighties. These include completely unknown mechanics that were brilliant in their time, such as Gunter Zabrocky from Oberhausen, who made his name with the Hydra SS fork (based on the Horex telescopic fork). He also gained a lot of praise for his frame modifications.
    Ferdinand Kaczor of Altheim near Landshut successfully built his own frame for two-cylinder engines, inspired by British bike manufacturers Matchless and AJS.

    An upswing in the value of the R69S and R90S models

    Bikes built by BMW tuners in those three decades, especially the street-legal ones, have become extremely sought-after because they were manufactured in such small numbers. Three more models that are set to spiral in price are the R75/5, the R69S, and the R90S.  The R69US, as the name suggests, was a model that was created specifically for the American market at the request of the BMW importer.
    Many of these bikes came with BMW’s own telescopic fork, which had already been fully developed on the R75/5. The way that BMW offered colours on these bikes was unconventional too, selling certain paintjobs in very limited runs. There were just 20 blue machines produced, for example.
    The R90S has been slowly rising in value, although prices have not yet risen above the 15,000-euro mark. As with all these models, it is only the S series bikes that, in the eyes of buyers at least, will continue to rise. This draws comparisons in the classic car market with the Porsche 911 S and F-series cars.
    It is also clear that the /5 models will grow in value too. In 1969, the ‘dash five’ showed BMW’s commitment to producing motorcycles. It was a completely new motorcycle, with huge investment in the frame, the swingarm, the forks and the engine. Today the /5 is considered to be a 1960s classic, thanks in part to luxuries such as a 12-volt system, an electric starter motor, a riding position that’s comfortable for long distances, and relatively good performance.
    Furthermore, it’s a reasonably simple bike to ride and maintain, which inspires confidence in buyers, who get a good bike that will increase in value.
    The change from the R69 to the /5 with swing forks is comparable to switching from the Porsche 356 to the 911. And today, it is the great 911 that has become priceless.
    Photos: BMW,  Premiummotorrad
    Tobias Aichele, born in 1960, is a journalist, author and a respected specialist in classic Porsches and motorcycles. His Motorworld showroom in Stuttgart features a number of premium classics: both motorcycles and cars.
    Plenty of motorcycles with good appreciation potential can be found for sale in the Classic Driver Market.

    Patrimoine: les 60 ans d'Alpine


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    Avec le recul, la destinée de Jean Rédélé paraît évidente. Bercé dès son plus jeune âge dans un univers où automobile, compétition et Renault étaient les maîtres-mots, il s’est aussi démarqué par une vision avant-gardiste de la technologie et du commerce. Né le 17 mai 1922, Jean est le fils aîné d’Émile Rédélé, concessionnaire Renault à Dieppe après avoir été le mécanicien attitré de Ferenc Szisz, premier « pilote d’usine » de la Marque au début du siècle. Dès la fin de ses études à HEC, Jean est remarqué par la direction générale de Renault pour ses idées commerciales novatrices. À seulement 24 ans, il devient le plus jeune concessionnaire de France en prenant la suite de son père.
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    Considérant que la course est le meilleur banc d’essai pour les modèles de série et que la victoire est le meilleur argument de vente, Jean Rédélé participe à ses premières compétitions à l’âge de 28 ans. Après un coup d’essai au Rallye Monte-Carlo 1950, il remporte le tout premier Rallye de Dieppe au volant de la nouvelle 4CV, face à des modèles bien plus puissants! Ce succès au  retentissement national conduit Renault à lui fournir une 4CV ‘1063’ – la version spéciale course – pour la saison suivante. Tout en décrochant de nouveaux succès, Jean Rédélé cherche à améliorer les performances de son bolide. Sa quête le mène jusqu’en Italie, chez Giovanni Michelotti. Il lui commande une 4CV Spéciale Sport, caractérisée par une carrosserie en aluminium bien plus aérodynamique que le modèle d’origine. Au fil du temps, cette collaboration entre le rallyman français et le styliste italien donnera naissance à trois exemplaires uniques.
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    En attendant la livraison de sa nouvelle arme, Rédélé poursuit sa carrière au volant de la ‘1063’. Concessionnaire Renault à Paris et Etampes, son ami Louis Pons devient son équipier. Toujours en quête de  performances, le duo finance le développement d’une boîte de vitesses à cinq rapports, conçue par André-Georges Claude. Cet artifice leur permet notamment de remporter leur catégorie aux Mille Miglia, cette fameuse course entre Brescia et Rome.
    La trajectoire de Jean Rédélé passe ensuite par les 24 Heures du Mans ou le Tour de France Automobile. En 1953, il touche enfin sa 4CV ‘Spéciale’. Pour sa première sortie, il remporte le 4e Rallye de Dieppe devant deux Jaguar et une Porsche! L’année suivante, l’équipage Rédélé / Pons décroche une troisième victoire de catégorie aux Mille Miglia, puis remporte la Coupe des Alpes. "C’est en sillonnant les Alpes à bord de ma 4CV que je me suis le plus amusé. J’ai donc décidé d’appeler mes futures voitures Alpine, pour que mes clients retrouvent ce plaisir", dira-t-il plus tard.
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    Car l’idée de créer sa propre marque taraude l’esprit de Jean Rédélé. C’est son beau-père qui l’aide à franchir le pas. Notamment propriétaire du Grand Garage de la Place de Clichy, situé rue Forest, Charles Escoffier est un des plus importants concessionnaires Renault de l’époque. En demandant à son gendre de l’aider à développer et commercialiser une série de coaches déjà commandés chez Gessalin & Chappe, il le conduit à créer la "Société des Automobiles Alpine", le 25 juin 1955. Il s’agit, aussi, de la fin de la carrière de pilote de Jean Rédélé.
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    A106: LE DÉBUT D’UNE FORMIDABLE ÉPOPÉE
    En imaginant ses futures automobiles, Jean Rédélé voulait s’appuyer des principes élémentaires: une mécanique simple mais compétitive, utilisant un maximum de pièces de série et recouverte d’une carrosserie légère et attrayante. D’un certain point de vue, le coach imaginé par Charles Escoffier respecte ces prérequis… même si Jean Rédélé n’en assume pas vraiment la paternité! Dessiné par Jean Gessalin et construit par les frères Chappe, le premier prototype est présenté par Charles Escoffier au comité directeur de Renault en février 1955. Une fois l’homologation validée, c’est là qu’intervient Jean Rédélé. Il impose quelques modifications, issues des 4CV développées avec Michelotti. Le coach prend la dénomination A106: A comme Alpine et 106 en référence au nom de code de la 4CV, qui sert de banque d’organes.
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    Début juillet, trois exemplaires de l’Alpine A106 aux couleurs du drapeau français – une bleue, une blanche et une rouge – paradent dans la cour du siège de la Régie Renault, à Boulogne-Billancourt. Même s’il n’affectionne pas particulièrement la ligne de la première Alpine, Jean Rédélé n’en est pas moins fier d’être devenu un constructeur automobile à part entière. Mécaniquement, l’Alpine A106 conserve le châssis et les trains roulants de la 4CV. Le moteur à quatre cylindres en ligne de 747 cm3 est proposé en deux versions de 21 ch et 38 ch. Cette première Alpine se distingue avant tout par une carrosserie en polyester, collée au châssis d’origine de la 4CV. En option, il est possible d’équiper l’A106 de la boîte de vitesses à cinq rapports ‘Claude’, ou de la suspension ‘Mille Miles’ constituée de quatre amortisseurs à l’arrière.
    Fidèle à ses principes d’amélioration continue, Jean Rédélé cherche sans cesse à faire progresser l’A106. Lassé des réticences de Chappe & Gessalin à faire évoluer l’A106, le Dieppois finit par ouvrir sa propre carrosserie: RDL. Cette prise d’indépendance se traduit par le lancement d’une version cabriolet, dessinée par Michelotti et présentée au Salon de Paris 1956. Une troisième variante est lancée en 1958: l’A106 "Coupé Sport". Il s’agit en fait d’un cabriolet sur lequel est soudé un hard-top! Avec 251 exemplaires produits entre 1955 et 1960, l’A106 a permis à Jean Rédélé d’installer son entreprise. Mais il ne s’agit que d’une première étape…
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    GARB: MOBILE OFFICE

    Garb: Mobile Office

    Wilson and Willy's Anorak Jacket ($279). Proper Cloth Dress Shirt ($145). Levi's Vintage Selvedge Denim ($225). This is Ground Mod Laptop Case ($575). New Balance 25th Anniversary Edition Sneakers ($220). Tudor Snowflake Submariner Watch ($6,800). Drift + Winter Session Eyeglass Case ($100). Apple Magic Mouse($69). Urbanears Kransen White Headphones ($39). Masunaga Glasses ($TBA).