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    dimanche 31 mai 2015

    24 Heures du Mans 2015 ; Journée Test : Porsche en grande forme / Porsche hints at Le Mans form


    La Journée Test des 24 Heures du Mans 2015 s’est déroulée dans des conditions météo instables. Brendon Hartley (Porsche/Michelin N°17) a profité d’une courte période de beau temps pour réaliser le meilleur temps devant la Porsche 919 Hybrid N°19 et les Audi N°7 et N°8. Aston Martin a dominé les catégories LM GTE.
    Après la pause-déjeuner au cours de laquelle la pluie avait cessé, les teams ont hésité à renvoyer leurs autos en piste en début de seconde session. Etrange…
    Dix minutes après le drapeau vert, la pluie est réapparue sur Le Mans, et bizarrement, c’est à ce moment-là que plusieurs prototypes LM P1 ont pris la piste ! Peut-être voulaient-ils évoluer sur un circuit complètement mouillé au lieu d’une piste mi-sèche, mi-humide qui n’est jamais très intéressante pour une séance de développement.
    La CLM P1/01 du Team ByKolles n’a pas repris la piste cet après-midi après la rupture d’un élément de carrosserie arrière ce matin (pas de pièce de rechange). De son côté, la Ligier JS P2 N°34 – la plus rapide des LM P2 ce matin – a dû subir un changement de moteur. L’opération a duré un peu moins de trois heures.
    La pluie s’est ensuite calmée et l’asphalte a commencé à sécher. Durant ces quelque trois-quarts d’heure, Porsche, Audi et Toyota se sont relayés en haut des classements, alors que Nissan est resté concentré sur son travail de développement.
    Au volant de la Porsche 919 Hybrid/Michelin N°17, Brendon Hartley a signé le meilleur tour en 3min21s061, battant la pole position 2014 de 0s728. Ce chrono laisse à penser que la pole 2015 pourrait se jouer en moins de 3min20s. Pour mémoire, le record du circuit actuel est de 3min18s513 (Sarrazin, Peugeot/Michelin, 2008).
    Peu après la performance de Brendon Hartley, la pluie est revenue, prohibant toute amélioration. Les teams se sont alors concentrés sur leur roulage et les rookies sur leurs 10 tours obligatoires.
    Le classement a changé dans toutes les catégories. Aston Martin/Michelin s’est hissé en tête des catégories LM GTE Pro et Am avec, respectivement, la N°97 (3min58s069) et la N°98 (3min59s338) qui a signé le 3e meilleur temps toutes GTE confondues.
    En LM P2, l’Oreca03-Nissan N°48 Murphy Prototypes a conclu la journée Test en tête (3min42s405). Sept châssis différents occupent les sept premières places.
    Mixed, predominantly rainy weather spoiled the party at the 2015 pre-Le Mans Test Day, but it did give teams a potentially valuable chance to experience the French circuit in wet conditions. During a brief dry spell, Brendon Hartley (N°17 Porsche/Michelin) even managed to beat the best qualifying lap of 2014, suggesting some lightning-quick times when teams return to La Sarthe on June 10. The N°19 Hybrid 919 made it a one-two result for the German make, ahead of the N°7 and N°8 Audi/Michelins. Aston Martin/Michelin topped the LM GTE Pro and Am timesheets.
    After the hour-long lunch-break, during which time the morning’s rain eased off, the teams seemed bizarrely reticent to send their cars back out for the start of today’s second four-hour session, even though the track was practically all-dry at this time.
    Ten minutes after the green light, however, the rain worsened again and, strangely, this was when several LM P1 teams chose to go out. Perhaps they were encouraged by the fact that the conditions were entirely wet again instead of hovering between wet-and-dry, which isn’t ideal for useful set-up work. That said, it served to provide handy information about slick, hybrid/intermediate, full wet tyre-windows!
    One car that didn’t reappear was the N°4 CLM P1/01 (ByKolles) which suffered rear deck damage this morning and had no spares. Meanwhile, the N°34 Ligier JS P2 – the morning’s fastest LM P2 runner – had its HPD engine changed after a late problem in session one. The swap took a little less than three hours.
    In keeping with the day’s pattern, the rain then eased off and the asphalt started to dry again, signalling the start of three-quarters of an hour of tumbling lap times. This saw Porsche, Audi and Toyota all take turns at the top of the timesheet, while Nissan was content to continue ticking tasks off its long job list.
    The phase culminated with Hartley’s performance in the N°17 Porsche 919 Hybrid/Michelin on the one-hour mark. The New Zealander lapped the 13.629km Circuit de la Sarthe in 3m21.061s which was not only today’s fastest time but also 0.728s quicker than the 2014 pole-winning time (Nakajima, Toyota).
    This sort of lap certainly suggests that the scrap for this year’s grid positions might take us well under the 3m20s threshold. For memory, the record for the track in its current form (more or less) is 3m18.513s (Sarrazin, Peugeot, 2008).
    Soon after Hartley’s effort, rain swept in again and the remainder of the afternoon was marked by further showers as teams did their best to gather useful data and complete their ‘rookie’ laps as necessary.
    Meanwhile, compared with the morning, the lead changed hands in all the other classes, with Aston Martin/Michelin gaining the upper-hand in LM GTE Pro and Am. The British outfit overturned Ferrari’s earlier domination of the latter with its N°98 Vantage V8 (Dalla Lana/Lamy/Lauda, 3m59.338s) which ended up on the day’s GTE podium! The fastest Pro car was the N°97 Aston (Turner/Mucke/Bell, 3m58.069s) which edged nine-hundredths of a second clear of the second-placed N°64 Corvette C7.R.
    The day’s LM P2 honours ended up in the hands of the N°48 Oreca03R-Nissan (Murphy Prototypes, 3m42.405s).

    The Garage Company - Boys Need A Garage

    The Garage Company is what happens when the dreams of a boy who grows up putting together motorcycles from discarded bikes and parts in Tokyo come true. Yoshi Kosaka, former dental tool engineer turned motorcycle designer and collector, talks about his influences, and the inspiration that go into his shop/museum, and his one of a kind California Bobbers.

    The Garage Company - Boys Need A Garage from Brian Booth on Vimeo.

    Bike Shed London 2015 by deBolex

    A short video by Dominic Hinde of the 2015 Bike Shed London show, Tobacco Dock.

    Massive thanks to everyone who took the time to come and see us at the deBolex stand and to Bike Shed for putting on such a great show.



    VDEV 6H Motorland Aragon Protos : Norma et TFT vainqueurs devant trois Ligier!


    VILARINO2_BD
    par Claude Foubert (Endurance-Info.com)
    Le proto Norma champion en titre n’avait été guère en réussite depuis le début de saison. Motorland sonne donc comme une revanche pour TFT qui retrouve la plus haute marche du podium grâce à Alain Ferté et Philippe Illiano, associés ici à l’Espagnol Ander Vilarino, remplaçant de Vincent Capillaire, retenu au Mans pour la Journée Test des 24 Heures.
    Podium1
    Auteure de la pole position, la Norma M20 FC n°8 mène les débats d’entrée et Vilarino creuse rapidement l’écart, avec en prime un meilleur tour qui restera la référence de cette course. Au gré des ravitaillements et des passages en pit-lane – obligatoires en fonction des handicaps -, les leaders cèdent la tête à plusieurs rivaux, en premier lieu desquels la Ligier JS53 Evo n°29 du Graff (Eric Trouillet / Yann Clairay / Jordan Perroy), l’Evo 2 n°17 d’IDEC Sport Racing (Patrice et Paul Lafargue / Matthieu Lahaye), la Norma n°41 de l’Equipe Palmyr (Fabien Thuner / Jens Petersen / François Belle) et la deuxième Ligier du Graff, la n°91 (Franck Gauvin / Sergio Pasian / Garry Findlay).
    Le nombre de leaders témoigne de l’intensité de ces 6 heures et pour pimenter une épreuve qui n’en manque pas, une forte averse s’abat sur l’Aragon à deux heures de l’arrivée alors que Ferté occupe les commandes. Une heure plus tard, après la valse de changements de pneus et le retour aux pneus « slicks », Vilarino pointe à son tour en tête et gère son avance sur un Paul Lafargue brillant dans ces conditions délicates. Lui-même doit s’ailleurs se méfier du retour de la n°29 aux mains de Clairay, tandis que Findlay, en 4eposition, ne ménage pas son effort. Si bien qu’à une demi-heure de l’arrivée, le quatuor de tête n’est séparé que de 40 petites secondes. L’intervention de la voiture de sécurité, à quelques minutes du terme, pour nettoyer de l’huile sur la piste, met malheureusement un terme à cet incroyable scénario.
    Podium
    Après deux abandons consécutifs à Barcelone et au Mugello, TFT vainc enfin le signe indien et goûte à nouveau au parfum de la victoire. « Quand il a commencé à pleuvoir, je n’avais pas trop idée de ce qu’il se passait en piste et j’ai simplement suivi les instructions à la radio, confie Alain Ferté. C’est la victoire d’une équipe et la voiture était parfaite. On mérite ce succès, car par deux fois nous avons été contraints à l’abandon à cause de problèmes techniques alors que nous nous battions pour la victoire. Ce triomphe est un soulagement pour Philippe et moi-même qui avons vécu ces deux déceptions. Quant à Ander, un super suppléant. Je le connais bien, et je savais que ça allait le faire ! »
    Derrière le carré magique, DB Autosport devait célébrer la 5e place de la Norma n°21 de Daniel Bassora / David Monclair / Damien Delafosse, mais une pénalité de 23’’ pour non respect du nombre de « Drive Though » obligatoires la fit rétrograder au 6e rang derrière la Norma CD Sport n°30 (Thomas Accary / Kevin Bole Besançon / Jean-Ludovic Foubert), pénalisée, elle, de 40’’. Cette sanction de la n°21 toucha également les n°7 TFT, n°35 Ultimate, n°40 Palmyr et n°84 SRT 41. Signalons ainsi la 7e position de la Norma n°41 Palmyr qui précède la n°31 (Sébastien Dhouailly / Gérard Faure / Rémi Kirchdoerffer) et la n°5 TFT (Jacques Sébastien Medard / Morales / Lars Viljoen).
    Les vainqueurs du Mugello, leurs équipiers chez CD Sport sur la n°33 (Marc-Antoine Danielou / Nicolas Maulini / Jacques Wolff) n’ont pas connu la même réussite puisque des problèmes récurrents de moteur les ont contraint à jeter l’éponge. Tout comme la Ligier n°15 IDEC Sport Racing de Frédéric et Nicolas Da Rocha / William Cavailhes, également victime de sa mécanique.
    La bataille, enfin, fut tout aussi somptueuse dans le peloton des Gentlemen Drivers. La Tatuus PY012 de la Scuderia Bi & Bi occupait la tête avant l’apparition du Safety Car, mais dût finalement la céder à la Norma n°67 du Team One confiée à Rémy et Grégory Striebig / Ludovic André, qui ferme le Top-10 de cette troisième manche.
    La pluie qui accueillit les concurrents sur le podium n’a pas refroidi les ardeurs des pilotes qui ont célébré leur succès dans une ambiance caractéristique des V de V Endurance Series. Avec une seule idée en tête : rendez-vous à Dijon du 26 au 28 juin !
    Le classement est  ici

    24 Heures du Mans 2015 ; Journée Test : Les chronos s’affolent ! / fast times straightaway


    Porsche Team a d’ores et déjà envoyé un message très fort à ses rivaux en signant un chrono à seulement 2/10e de seconde de la pole 2014. La majorité de cette première séance fut marquée par la pluie qui a contrarié le tableau de marche des teams. 
    Les premiers roulages 2015 sur le Circuit de la Sarthe ont débuté ce matin à 9h00 avec une température de 16°C et un ciel bien nuageux. Malgré des conditions menaçantes, la piste était sèche lorsque le feu est passé au vert, alors les teams en ont profité pour débuter rapidement leur travail
    Pendant la première période, la piste était qualifiée de très sale par l’ensemble des pilotes. Cela n’a pas empêché un prototype LM P1 de boucler un tour en 3min40s664 dans les 10 premières minutes.
    Et ce prototype était conduit par un certain Kazuki Nakajima qui avait reçu l’autorisation de rouler au volant de la Toyota TS040 Hybrid N°1 après une vertèbre fracturée à Spa en début du mois.
    Dix minutes plus tard, André Lotterer a réalisé 3min25s257 (à environ 2 secondes du meilleur tour de la Journée Test 2014), avant une série de tours rapides à l’approche de l’heure de roulage.
    Neel Jani a placé la Porsche 919 Hybrid N°18 en haut des classements avec 3min21s945. On se souvient que la pole position de Nakajima l’an passé était de 3min21s789. Après une heure de roulage, on était donc à 0s156 du temps de référence 2014.
    Ensuite, les teams ont pu évoluer pendant une demi-heure sur une piste sèche avant l’apparition de la pluie.
    Sous le crachin, les voitures ont tout d’abord roulé en slicks et en pneus intermédiaires, comme le Michelin hybrid pour les LM P1. Puis la pluie s’est intensifiée et les « full wet » sont devenus obligatoires.
    Sous la pluie, la Porsche N°67 du Team AAI a fait sa première excursion dans un bac à gravier à la fin de la ligne droite des stands. La Nissan N°23 a manqué près de la moitié de la séance en raison de soucis électriques.
    Dommage pour l’équipe japonais qui a besoin de cumuler des kilomètres pour poursuivre le développement de ses GT-R LM Nismo. En outre, Nissan n’a pas hésité à utiliser un prototype LM P3 pour qualifier ses rookies (10 tours obligatoires).
    Autre pilote bien occupé aujourd’hui, le Français Fred Makowiecki a roulé dans son habituelle Porsche 911 RSR N°92 (LM GTE Pro) avant de boucler quelques tours au volant de la Porsche 919 Hybrid N°19.
    En LM GTE Pro, la voiture la plus rapide ce matin fut la Corvette C7.R N°64 (3min58s162), à 4s462 du meilleur temps 2014, alors que quatre Ferrari ont dominé la catégorie LM GTE Am. La Ligier JS P2 OAK Racing N°34 a réalisé le meilleur tour en LM P2.
    Porsche Team used the first four-hour session of today’s pre-Le Mans test to send a message to its rivals by posting a benchmark lap (Jani) that was less than two-tenths short of last year’s pole-winning time! Unfortunately, the majority of the session was marked by persistent rain which forced teams to switch to alternative job lists.
    The first competitive action of 2015 around the 13.629km Circuit de la Sarthe kicked off this morning with the temperature standing at 16°C and, more significantly, under ominously dark clouds.
    Despite the clear threat, there was no rain when the pit-lane light turned green at 9am, so teams hurried out to begin working through as much of their respective dry-weather plans as possible.
    During the session’s opening phase, the track was described by one driver as dirtier than he had seen in years. However, that didn’t prevent an LM P1 prototype from posting a 3m40.664s within the first 10 minutes.
    While not exceptionally fast, it was a reassuring time since it was the work of Kazuki Nakajima who only received authorisation to take part yesterday morning after the N°1 Toyota driver suffered a fractured vertebra a month ago at Spa.
    Ten minutes later, André Lotterer stopped the clock at 3m25.257s (around two seconds off the fastest Test Day lap in 2014), before a flurry of quick times at the one-hour mark saw Neel Jani put the N°18 Porsche 919 Hybrid/Michelin at the top of the monitors with a 3m21.945s. For reference, last June’s pole time (3m21.789s, Nakajima, Toyota) was only 0.156s quicker!
    After that, teams benefited from a further half-hour of dry running before the weather changed.
    It wasn’t heavy rain to begin with, and the cars were able to run on either slicks or intermediates – including the Michelin Hybrid slick-intermediate in the case of the LM P1 prototypes. Soon, though, the track became too wet and full wets were necessary.
    This transitional period produced the session’s first victim when the N°67 Porsche (Team AAI) made the first of its two excursions into the sea of gravel at the end of the start/finish straight. Also in trouble was the N°23 Nissan GT-R LM which missed a little less than half the session because of an electrical problem.

    That was obviously a shame for the Japanese team which needs as much track time as possible to pursue its new car’s development. Indeed, in order to focus on development groundwork, it didn’t hesitate to use the participation of a ‘friendly’ LM P3 prototype to qualify two of its rookie drivers (10 mandatory laps).
    Another driver straddling two classes today is Fred Makowiecki who went out in the N°92 Porsche 911 RSR/Michelin (LM GTE Pro) early on before spending a handful of laps in the N°19 919 Hybrid.
    Fastest car this morning in LM GTE Pro was the N°64 Chevrolet Corvette C7R (3m58.162s, 4.462s slower than 2014 qualifying), while four of the nine Ferraris here today dominated the top four places in LM GTE Am (topped by the N°61 458 Italia/Michelin, 4m0.677s).
    In front in the LM P2 prototype class for the moment is Oak Racing’s N°34 Ligier JS P2 (3m41.919s).

    Lorenzo triomphe en solitaire au Mugello / Lorenzo delivers master class to make it three in a row


    L’Espagnol a de nouveau surclassé ses concurrents pour remporter une troisième victoire consécutive au Grand Prix TIM d’Italie.
    Lorenzo triomphe en solitaire au Mugello
    Après s’être imposé à Jerez puis au Mans, Jorge Lorenzo (Movistar Yamaha MotoGP) a de nouveau brillé dimanche au Mugello et s’est imposé haut la main, en comptant jusqu’à près de dix secondes d’avance sur la seconde moitié de la course.
    Qualifié en pole malgré une blessure à l’épaule, Andrea Iannone (Ducati) s’est lui aussi distingué en se battant courageusement et a décroché la seconde place, son meilleur résultat en date en MotoGP™. 
    Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) a réalisé l’une de ses habituelles chevauchées fantastiques pour revenir dans la lutte pour le podium malgré son départ en troisième ligne et a fini troisième devant Dani Pedrosa (Repsol Honda), dont le coéquipier Marc Márquez (Repsol Honda) a chuté alors qu’il se battait avec Iannone pour la seconde place. 
    Également en lice pour la seconde place, Andrea Dovizioso (Ducati) a été contraint à l’abandon en raison d’un problème technique sur sa GP15.
    Q1LB
    Premier pilote Open, Loris Baz (Athinà Forward Racing) a confirmé son excellente progression en prenant la douzième place, comme il l’avait fait deux semaines plus tôt au Mans.
    Cliquez ici pour accéder aux résultats.

    Movistar Yamaha’s Jorge Lorenzo completely dominates a dramatic #ItalianGP, winning by over 5.5s at Mugello.
    Lorenzo was simply untouchable during the race, taking the lead on the first lap, and at times lapping over a second quicker than his rivals, to take a commanding victory.
    The battle for second place was where the action was, with Ducati Team’s Andrea Iannone (+5.563s) riding through the pain to finish a second ahead of a hard charging Valentino Rossi in third. Repsol Honda’s Dani Pedrosa crossed the line in fourth, ahead of the Monster Yamaha Tech 3’s of Bradley Smith and Pol Espargaro in fifth and sixth respectively.
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    Maverick Viñales (Team Suzuki Ecstar), Michele Pirro (Ducati Team wild card), Danilo Petrucci (Octo Pramac Racing) and his teammate Yonny Hernandez completed the top ten.
    Marc Marquez crashed out with six laps to go while battling with Iannone for second, while Loris Baz took the Open class victory in twelfth.

    1976 Kawasaki KZ650 by Krakenhead Customs


    KZ650_GreenGlory-1000
    Words by Martin Hodgson.
    Son of a gun we’ll have big fun on the Bayou, only this son of a gun is the offspring of the legendary Kawasaki Z1 and the Bayou is replaced by the historic streets of Ljubljana, Slovenia. Built by Krakenhead Customs this is a daily rider that pays homage to the golden years of Kawasaki’s Z bikes that along with Honda’s CB series introduced the world to 4 cylinders across the frame, big disc front ends and became the inspiration for all modern sports bikes.
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    This son of a Z1 is a 1976 Kawasaki KZ 650 B1 that had spent its past 13 years abandoned and unloved in a Slovenian barn. Green Glory as it is known was built with the inspiration of those glory years in mind, but with enough custom touches to show the world just what Krakenhead Customs can do and key to the build, it had to remain roadworthy. The entire frame was cleaned up and a new rear hoop added to be able to mount the seat they had in mind. Slight tweaks were made to the geometry and new shock mounts fabricated before the whole thing was painted black.
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    Mounted to those new shock points are a set of longer chrome shocks that give the bike a far more aggressive stance. Further bringing the Z closer to terra firma are the lowered front shocks that were then treated to polished legs. Needing a rear fender to remain roadworthy but not wanting to lose that under seat space that shows off the raised rear, Luka and the team made the decision to create a fender that rides close to the tire just like the front end. Custom brackets hold it all in place and modifications were cleverly made to ensure it never fouls the tyre even on the hardest of bumps.
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    All the vital engine parts have been overhauled or renewed to bring the 650 back to its former glory. The baby Z was a quick bit of kit back in the 70’s, capable of 12 second quarter miles that left almost every other middleweight bike well and truly in its dust. Adding a few more ponies are the fitment of the stunning Marving 4-1 exhaust and K&N filters. The whole engine was thoroughly cleaned and detailed, while the side covers are heavily polished. Further cleaning up the look of the Z is the under seat box that holds all the wiring and other miscellaneous objects that would otherwise clutter the clean lines of the bike. The standard braking was fairly capable in its day but giving the rider extra confidence are master cylinder and levers that come from a Suzuki GSXR 1000.
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    Having polished the fork legs and the side covers it was hard not to go further, so the same treatment was given to the triple trees, wheels, switch blocks and clip ons. While further individualising comes in the way of engraved Krakenhead logos that have been neatly carved into the levers and the tank cap. Beautifully offsetting all the polished metal is the one off leather seat that is both stylish and comfortable enough for daily duties.
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    All Krakenhead builds now and into the future receive one signature item, the “Kraken” headlamp, taken from the NSU Supermax they are then modified to fit the application before receiving a Royal Enfield speedo and idiot lights for functionality. But it’s hard to look at this build for any length of time and not be truly impressed by the paint work. Just like the rest of the build it pays homage to the golden days of Z bikes but with a Krakenhead twist. Green Glory had to follow the Z1 green paint scheme so the tank and rear fender were first coated in the classic Kawasaki green but with a candy effect. The Z fading grey belt is perfectly replicated on the tank and the white pin striping is all done by hand. While the rear fender has its sides left in brush metal, finished in clear coat to protect it from the elements.
    GreenGlory-1017
    With the KZ650 build a huge success Krakenhead customs have already started work on a radical overhaul of a KZ 1000 and Honda GL 1000 and if Green Glory is anything to go by the streets of Ljubljana are set for a wild ride!
    via PIPEBURN

    24 Heures du Mans 2015 / Le circuit idéal pour préparer Le Mans / The ideal circuit to prepare for Le Mans


    Préparer les 24 Heures du Mans est un travail d’une année.  Mais les teams ne peuvent utiliser le grand circuit sarthois que deux fois l’an. Les ingénieurs sont donc contraints de tester leurs machines ailleurs, comme au Castellet, à Aragon, à Spa, Monza et au NCM Motorsports Park (USA). 
    Gagner les 24 Heures du Mans est le rêve de tout constructeur automobile. Cet objectif nécessite beaucoup d’engagement et des années de travail.
    Une des contraintes de la course mancelle est qu’il est impossible de faire un tour du Circuit de La Sarthe quand bon vous semble. Il n’y a en fait que deux opportunités par an : la Journée Test d’aujourd’hui, et la semaine des 24 Heures. Le reste du temps, la majeure partie des 13,629 km sont des voies ouvertes à la circulation.
    Pour optimiser les performances et la fiabilité de leurs voitures, les top-teams – et manufacturiers de pneus comme Michelin – doivent donc trouver d’autres pistes d’essais.
    Le circuit du Castellet est traditionnellement un circuit de substitution, souvent utilisé par Toyota. En ce moment, les teams comme Porsche ont une préférence pour Motorland Aragon (Espagne), un circuit de 5,344 km inauguré en 2010. Ces deux circuits sont largement utilisés dans des simulations de 30 heures. Audi teste souvent son aéro type Le Mans sur le circuit de Monza.
    La manche annuelle du FIA WEC à Spa-Francorchamps début mai est généralement décrite comme une séance préparatoire aux 24 Heures du Mans. Elle permet en effet aux ingénieurs de tester en course les kits aérodynamiques type Le Mans (avec peu d’appuis) et ils peuvent extrapoler les résultats obtenus à Spa sur le circuit des 24 Heures.
    Cette année, Nissan Motorsports a trouvé un nouveau circuit pour préparer son retour au Mans en LM P1 : NCM Motorsports Park à Bowling Green (Kentucky), tout près de l’usine Corvette. Ce nouveau circuit inauguré en 2014 a été tracé en fonction des désirs du team Corvette Racing et on dit que de nombreux virages sont des répliques de ceux du Mans, comme Mulsanne, les Virages Porsche et la Chicane Playstation.
    Malgré tout, Ben Bowlby, le concepteur de la Nissan GT-R LM Nismo, reconnaît : « Nous n’avons pas eu le temps des corréler réellement à ceux du Mans. Ce circuit du Kentucky offre beaucoup de grip, contrairement au Mans. Il est aussi court et il faut en faire quatre tours pour l’équivalent d’un au Mans. C’est aussi plus de Virages Porsche et moins de lignes droites. »
    Ceci dit, Nissan et son partenaire Michelin vont peut-être pouvoir extrapoler les datas collectés au Kentucky. Nissan précise également qu’il s’agit du début du développement de son prototype à moteur avant et que le team est fier du travail accompli.
    Preparing for the Le Mans 24 Hours is a year-long business. However, to work on their cars, teams can only use the French circuit twice a season. Engineers are consequently forced to travel elsewhere to conduct their development programmes. Alternative venues include Le Castellet, Aragon, Spa and, perhaps, NCM Motorsports Park in the USA.
    The glory that comes with winning the Le Mans 24 Hours has been sought by carmakers for almost a century. Today, however, it’s an objective that necessitates years of commitment and year-round work.
    One of the beauties of the great French race is that you can’t lap round Circuit de La Sarthe whenever you wish. You only get that possibility on two occasions: the official Test Day (i.e. today) and race-week itself. The rest of the time, most of the 13.629km track is used by ordinary traffic!
    To optimise the performance and reliability of their machines, the top teams – and tyre companies like Michelin – therefore need to find other locations for this essential groundwork.
    Traditionally, Le Castellet in the south of France has been a favourite substitute. More recently, teams have turned increasingly to Motorland Aragon, in northeastern Spain, a 5.344km track inaugurated in 2010.
    It is one or both of these venues that teams use nowadays for their 30-hour simulation runs ahead of Le Mans.
    Meanwhile, the FIA WEC’s annual visit to the Belgian Ardennes for the 6 Hours of Spa-Francorchamps is frequently described as a ‘dress rehearsal’ for Le Mans. It effectively allows the engineers to run at least one of their prototypes with a Le Mans-type aerodynamic package in race conditions, and they have sufficient hindsight to be able to apply the data they collect to the specificities of La Sarthe.
    This year, LM P1 newcomer Nissan Motorsports has found a completely different solution: NCM Motorsports Park in Bowling Green, Kentucky, near Corvette’s sole manufacturing base. The make’s new test facility (inaugurated in July 2014) was designed with input from its race team and proudly claims that several of its corners replicate Le Mans – namely the Mulsanne ‘kink’ and corner, the Porsche Curves and the PlayStation chicane.
    However, as the GT-R LM Nismo prototype’s designer Ben Bowlby acknowledges, the track’s value remains to be seen: “We haven’t had time to correlate it with anywhere else yet. For one thing, its modern high-grip surface is very different to Le Mans. It’s also quite short and you need to complete four laps to match one of Le Mans, and that equates to too many Porsche Curves and too few straights...”
    That said, Nissan and its tyre partner Michelin will eventually be able to transpose and extrapolate the data they collect in Kentucky. On top of that, Nissan recognises that it is at the very beginning of the development of its front-engined, front-wheel drive prototype and is glad to have covered so much ground since the project’s inception…
    Very soon, perhaps, we will see the Japanese squad jostling with Audi, Porsche and Toyota for quality track time at Le Castellet and Aragon

    RALLYE DE TUNISIE 2015 : victoire de RODRIGUES (Yamaha) en moto et de PINCHEDEZ-BRUCY (Polaris) en auto ... COMPTE RENDU COMPLET



    ETAPE 1 : TAMEZRET – DOUZ

    LIAISON : 90KM – SPECIALE : 207KM – TRANSFERT : 6KM
    La première spéciale du Tunisie commence par une piste proche de Tamezret, Cap au Sud. Dans un décor merveilleux, le tracé est sinueux dans les collines, puis redescend dans les vallées. Les pistes sont ensuite plus larges et roulantes vers la somptueuse Palmeraie de Ksar Ghilane.

    Il aura fallu attendre 3 ans pour retrouver les magnifiques pistes Tunisiennes. L’émotion est grande lorsque Helder Rodrigues, tenant du titre MOTO du dernier Tunisie 2011, a le plaisir de s’élancer sur la piste le premier, pour cette 31ème édition du Rallye.
    Sur sa YAMAHA WR450F N°1, il enchaine les kilomètres à vive allure suivi de son coéquipier du Team Yamaha Yamalube Alessandro BOTTURI N°2. Sur les 15 motos / quads autorisés à prendre le départ ce matin, les numéros 6 et 23 manquent à l’appel mais devraient être présents au départ de l’étape 2.
    Du côté des Autos / SSV, c’est l’équipage Monteiro / Ferreira du Team MRACING PRT qui s’élance en 1er suivi chaque minute par les 23 autres autos. De nombreux tunisiens ont fait le déplacement pour applaudir et encourager les concurrents tout au long de l’étape.
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    Le vent souffle depuis le levé du jour et la seconde partie du tracé, après Ksar Ghilane, est une portion de dunes. Des dunes, certes majestueuses, mais impraticables par vent de sable…
    Le PC Course décide de regrouper les Motos au CP1 et de les mettre en stand-by avant la retombée du vent. Les autos sont quant à elles neutralisées au DSS. L’organisation met tout en oeuvre pour qu’à 11H30, les affaires reprennent ! Les motos traversent alors la somptueuse palmeraie de Ksar et remontent vers l’ASS tandis que les Autos débutent la spéciale.
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    UNE ETAPE EXIGEANTE

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    HELDER RODRIGUES – YAMAHA N°1 : vainqueur de la spéciale du jour
    « C’est le 1er jour de course et c’est le top ! Cette 1ère étape était très dure. Très belle, avec beaucoup de navigation et des dunes de sable très molles… C’est l’une des plus difficile spéciale que j’ai réalisé sur les Rallyes NPO depuis plusieurs années ! J’ai gagné, j’ai adoré rouler avec la nouvelle Yamaha. Le team a beaucoup travaillé avant de venir pour qu’on puisse faire de bons tests et ils ont fait un énorme travail. Le feeling avec la moto est fantastique et je suis très en confiance avec son potentiel. J’ai ouvert la piste toute l’étape, il n’y avait aucune trace et beaucoup de sable. Je suis RAVI, Merci à l’équipe NPO pour cette belle spéciale et ce rallye ici ! »
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    Alessandro BOTTURI – YAMAHA N°2 :
    2nd de la spéciale du jour

    « Pour un 1er jour c’était superbe,… mais très difficile ! Beaucoup de navigation, de sable. Mais un road-book au top a permis de bien rouler. C’était un bon test pour la moto et le physique dans le vent.
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    Anis NABLI – KTM N°3 : 4ème du jour
    « Je suis très heureux que le Rallye revienne au Pays et de naviguer dans nos dunes. C’était une étape annoncée de mise en jambes,… mais elle était très difficile. Le vent et les dunes de sable à franchir ont compliqué la spéciale. La navigation était prédominante. J’ai hate d’être à la spéciale 3 car elle va être encore plus compliquée et plus intéressante. »
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    Vincent THOUVENOT – HONDA N°30 : 10ème du jour
    « Le début a été très difficile. Les dunes étaient molles et on n’est plus habitué à une étape avec beaucoup de navigation, sans trace… On fait sa propre route, c’est magique, mais épuisant ! Les 30 derniers km étaient superbes car très roulants. On était enchanté d’être accueilli et acclamé par le public Tunisien qui s’était massé à l’arrivée de l’étape. Ca fait chaud au cœur ! »
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    Anton GRIGOROV – NISSAN T2 VEB RACING N°320 : 10ème du jour
    « Je suis heureux de venir en Tunisie car le Dakar y est venu il y a quelques années. C’est magnifique. Les pistes sont belles, ensablées, et j’ai pris beaucoup de plaisir à rouler aujourd’hui. C’est la première fois que je roule en T2 et c’est compliqué de se remettre dans l’esprit de cette catégorie. Mais j’ai apprécié l’étape.»
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    Morizio DOMINELLA : POLARIS T3 CINOTTO RACING N°391 : 16ème du jour
    «Le Road-book est au top, la spéciale était très belle. J’ai fait beaucoup d’essais et de roulage ici, mais aujourd’hui, il y avait beaucoup de vent, et donc pas de trace. Même la route des cafés avait disparu ! C’était très agréable surtout la partie dans les dunettes proche de Ksar. On a même été applaudi à l’arrivée c’était très sympa ! Les gens sont ravis que le rallye reprenne et nous aussi ! Ils ont besoin du rallye, de touristes et nous ont aime ce rallye avec NPO. »
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    Hend CHAOUCH: TOYOTA T2 TUN RALLYE TEAM N°327 : 19ème du jour
    « Une mise en jambe ? quelle mise en jambe !!! On est directement entré dans le vif du sujet. Le tracé était très diversifié et difficile. C’était STRAIGHT TO THE POINT ! Avec mon T2 à pont rigide c’était très dur de rouler vite entre les pistes roulantes les dunettes, les herbes à chameaux,… On s’est aussi arrêté vers nos amis le 319 qui avait une panne mécanique et le 318. ON est les bons samaritains. »
    Plusieurs compétiteurs étaient toujours sur la piste jusqu’à tard dans l’après-midi. Tantôt tankés dans les dunes, tantôt en attente du camion balai, tantôt en cours de récupération par leur assistance ou par les véhicules de l’organisation pour cause de fatigue dans le cordon de dunes. Cette première étape a mis les organismes de chacun à rude épreuve avant l’étape de demain : la plus longue du rallye !
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    CLASSEMENTS PROVISOIRES

    Le Champion Belge Gerald DELEPINE mène l’EnduroCup

    « Petit nouveau en Rallye-raid », Gerald n’est pas un inconnu. Champion du monde supermotard il enchaine les kilomètres de la spéciale à un rythme effréné pour terminer à la 3ème place du classement général et 1er en catégorie EnduroCup, pour son 1er Rallye !
    Devant lui, le Team Yamaha Yamalube emmené par Helder Rodrigues (1er) et Alessandro Botturi (2nd à 00:13:15) a frappé fort dès cette 1ère étape et relèguent la concurrence à plus d’une heure !

    Au classement auto, les SSV mènent la danse !

    Une grande première en Rallye-Raid ! Philippe PINCHEDEZ et Jean BRUCY dans leur POLARIS EUROSPORT N°394 pointent en tête du classement à l’issu de cette 1ère étape. Ils devancent un autre SSV, le POLARIS EAGLE RACING N°395 de Patrice GARROUSTE et Benoît DELMAS pour seulement 16 centièmes ! Patrick SIREYJOL et François BEGUIN sur leur CUMMINS CONSTANT N°302 terminent 1er T1 et complètent le podium du classement général à 4 min 35 du vainqueur du jour.

    ETAPE 1 : Modification des classements provisoires

    Des modifications sont intervenues dans les classements de l’étape 1. L’équipage Italien N°391 de Giampiero MATTIODA et Maurizio DOMINELLA du Team Cinotto Racing s’est vu retirer la pénalité de 01h00 qui lui avait été attribuée. Il est donc 12ème au classement provisoire général. Autre modification, la catégorie T3 est désormais répartie en 2 sous catégories : T3.1 et T3.2.

    12 H de Zandvoort : triomphe Mercedes


    Disputées en deux parties (3 heures vendredi, 9 heures samedi), les 12 Heures de Zandvoort ont été dominées par les Mercedes SLS.
    Les GT3 allemandes ont en effet remporté les quatre premières places, l'exemplaire du Hofor Racing confié à Michael Kroll-Roland Eggiman-Kenneth Heyer-Christiaan Frankenhout l'emportant avec 1'14"810 d'avance sur l'auto du RAM Racing que pilotaient Tom Onslow Cole-Paul White-Thomas Jäger. On pointait ensuite Harri Proczyk-Bernd Schneider-Rheinhold Renger-Carsten Tilke et Tom Coronel-Ivo Breukers-Rik Breukers.
    Trois podiums de catégorie ont récompensé la petite délégation belge dans ce tour d'horloge, comptant pour le championnat 24 H Series. Vincent Radermecker (Peugeot 208 GTi) a terminé 3e en A5 après avoir conclu en tête la première partie de la course. Raphaël Van der Straten-Grégory Paisse-José Close (Honda Civic) ont fait de même en A2 et Yvan Muller (GC10-V8), bien qu'ayant terminé au ralenti, a fini 3e en classe SP3. Quant à Vincent Despriet-Pierre-Yves Paque (Porsche 991), ils ont été contraints à l'abandon peu avant la 8e heure en raison d'une violente sortie du second nommé qui a d'ailleurs entraîné une neutralisation des débats.
    1 10 Hofor-Racing 2 Mercedes SLS AMG GT3 A6 1 -- 351 laps -- 1:41.398 4 Hofor-Racing Kroll-Eggimann-Heyer-Frankenhout 9:03:10.112 152.91 166.99 
    2 30 Ram Racing Mercedes SLS AMG GT3 A6 2 1:14.810 1:14.810 1:40.398 4 Ram Racing Onslow-Cole-White-Jaeger 9:04:24.922 154.44 166.61
    3 2 HP Racing Mercedes SLS AMG GT3 A6 3 -- 346 laps -- 1:40.910 154 HP Racing Proczyk-Renger-Schneider-Tilke 9:04:53.342 153.65 164.09 
    4 67 GDL racing 1 Mercedes SLS AMG GT3 A6 4 -- 344 laps -- 1:41.942 4 GDL Racing Coronel-Breukers-Breukers 9:03:20.191 152.10 163.61 
    5 4 Scuderia Praha Ferrari 458 Italia GT3 A6 5 -- 343 laps -- 1:41.431 113 Scuderia Praha Písařík-Jiřík-Kox 9:05:34.015 152.86 162.94 
    6 52 MSG Motorsport 2 Porsche 991 Cup 997 1 -- 337 laps -- 1:44.532 4 MSG Motorsport Konrad-Wimmer-Rettenbacher-Hauschild 9:01:25.676 148.33 160.84 
    7 20 MRS GT-Racing 1 Porsche 991 Cup 997 2 16.298 16.298 1:44.834 4 MRS GT-Racing Putman-Espenlaub-Maassen 9:01:41.974 147.90 160.76 
    8 16 Simpson Motorsport Audi R8 LMS GT3 A6 6 -- 332 laps -- 1:45.983 234 Peter Cook Cook-Pelle-Richie 9:05:20.737 146.30 157.32
    9 160 Cor Euser Racing 1 Lotus Evora GT4 SP3 1 -- 326 laps -- 1:50.931 200 Cor Euser Racing Prewitt-Delnoij-Allpass-Euser 9:04:07.691 139.77 154.82 
    10 62 Porsche Lorient Racing 1 Porsche 997 Cup S 997 3 -- 325 laps -- 1:45.608 3 Jean-François Demorge Demorge-Demorge-Roy-Pialat 9:03:32.757 
    etc....46 classés