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    lundi 17 novembre 2014

    WEC : Bahrain : La Toyota #7 s’impose, mais Buemi/Davidson champions 2014 !

    MOTORSPORT : WORLD ENDURANCE CHAMPIONSHIP - WEC - 6 HOURS OF BAHRAIN - ROUND 7 - SAKHIR (BHR) 2014/11/14-15
    par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)
    Cela fait plusieurs courses que l’équipage de la Toyota TS040 HYBRID #7 tournait autour de la victoire, et il aura fallu attendre le pénultième rendez-vous du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA pour voir une autre Toyota que la #8 sur la plus haute marche du podium. A l’issue des 195 tours de course, Stéphane Sarrazin, Alex Wurz et Mike Conway se sont imposés aux 6 Heures de Bahrain. Stéphane Sarrazin remporte un deuxième succès de rang à Bahrain. Le trio de la #7 a profité des déboires d’alternateur de la #8 de Buemi/Davidson pour prendre le relai dans le camp du Toyota Racing. A la régulière, la paire anglo-suisse était un ton au-dessus.
    Les deux Porsche 919 Hybrid ont bien animé la course en prenant la tête à plusieurs reprises. Pour la première fois de la saison, les 919 sont toutes les deux sur le podium, et dans le même tour que la Toyota victorieuse. Jani/Dumas/Lieb ont concédé 50s, et Webber/Hartley/Bernhard 57s. Alors que la majorité des LM P1-H avait décidé de ravitailler sous régime de Full Course Yellow en début de course, Porsche Team décidait de laisser Romain Dumas en piste. Vu l’écart avec la Toyota #7 à l’arrivée, le trio de la #14 pouvait espérer la victoire. Partie remise au Brésil ?
    Après les déboires rencontrés dès le début du meeting et trois changements de monocoque, les Audi R18 e-tron quattro n’ont pu faire mieux que 4ème et 5ème, la #2 de Tréluyer/Lotterer/Fässler devant la #1 de Kristensen/Duval/di Grassi. La 11ème place finale de Buemi/Davidson est suffisante pour que le tandem décroche son premier titre de Champion du Monde. C’est la première fois depuis la création du championnat en 2012 que les vainqueurs des 24 Heures du Mans ne sont pas champions du monde. Le titre Constructeurs se jouera à Sao Paulo lors de la finale.
    Course sage des deux Rebellion R-One du Rebellion Racing qui voient toutes les deux le damier. Mathias Beche, Nico Prost et Nick Heidfled ont mené la majeure partie de la course, mais c’est finalement leurs équipiers Dominik Kraihamer, Fabio Leimer et Andrea Belicchi qui s’imposent en LM P1-L. Les R-One ont tourné sans connaître le moindre pépin majeur en doublant les relais avec les gommes sur la seconde partie de course. La CLM P1/01 n’a guère brillé avec un abandon dès le premier tour sur boîte de vitesses.
    KCMG l’emporte, SMP Racing abandonne et G-Drive Racing prend la tête…
    Comme à Shanghai où on avait perdu un candidat à la victoire dès le premier tour avec l’accident impliquant la ORECA 03R/KCMG, la manche de Bahrain a causé des soucis à la Ligier JS P2/G-Drive Racing suite à un accrochage entre Olivier Pla et Krill Ladygin dès le départ. Le Toulousain a dû rentrer à son stand pour changer un changement de triangle qui a coûté plus de cinq minutes à l’équipage Pla/Canal/Rusinov. Un autre arrêt aussi long plus tard dans la course a donné une grosse suée au team dirigé par Philippe Dumas. L’autre LM P2 du SMP Racing pouvait alors creuser l’écart en cas de victoire, mais c’était sans compter sur KCMG.
    Après Austin, le team basé à Hong Kong rafle sa deuxième victoire de l’année aux mains de Alexandre Imperatori, Matthew Howson et Richard Bradley. SMP Racing s’acheminait vers une 2ème place quand à 15 minutes du terme, la ORECA 03R de Minassian s’est mise à fumer en perdant de l’huile. Le Marseillais venait d’écoper d’un drive through quelques minutes plus tôt pour un contact avec l’Audi #1. La #27 était même entrée en collision avec la voiture soeur. Ladygin/Ladygin/Shaitar récupèrent une 2ème place inespérée. La Morgan LM P2/OAK Racing de Cheng/Patterson/Ihara s’offre un beau podium. En terminant au pied du podium, Pla/Canal/Rusinov ramènent de gros points en vue du titre avant le dernier rendez-vous de Sao Paulo. Le trio G-Drive compte 136 points, contre 128 à Zlobin.
    MOTORSPORT : WORLD ENDURANCE CHAMPIONSHIP - WEC - 6 HOURS OF BAHRAIN - ROUND 7 - SAKHIR (BHR) 2014/11/14-15
    AF Corse gagne en GTE-Pro, Bruni/Vilander sacrés…
    On attendait plutôt Aston Martin en GTE-Pro, mais c’est finalement Ferrari et AF Corse qui raflent une 4ème victoire. Gimmi Bruni et Toni Vilander, de même que l’équipe d’Amato Ferrari, ont réalisé une course parfaite pour venir à bout de la concurrence. L’Italien a une fois de plus montré toute l’étendue de son talent en piste pour venir à bout de la concurrence. Heureusement que la Ferrari #51 est partagée par un tandem de talent. La paire Turner/Mücke doivent se contenter de la 2ème place à 1.8s, la dernière marche du podium revenant à la Ferrari/AF Corse de Rigon/Calado. Les Porsche 911 RSR n’ont guère brillé, toujours en retrait de la concurrence. Si Ferrari devra attendre pour le titre, Gimmi Bruni et Toni Vilander décrochent la Coupe du Monde d’Endurance des Pilotes GT. Deuxième sacre de suite pour Bruni. 156 points pour Bruni/Vilander, contre 116,5 à Makowiecki.
    MOTORSPORT : WORLD ENDURANCE CHAMPIONSHIP - WEC - 6 HOURS OF BAHRAIN - ROUND 7 - SAKHIR (BHR) 2014/11/14-15
    Une de plus pour Aston Martin en GTE-Am, Heinemeier-Hansson/Poulsen champions…
    Nouvelle course sans faille pour Aston Martin Racing avec un nouveau doublé pour les Vantage GTE. La #95 s’offre un 4ème succès cette saison après Silverstone, Le Mans et Fuji. C’est carrément le 7ème podium en 7 courses pour la #95 couvée par Young Driver AMR. Thiim/Heinemeier-Hansson/Poulsen ont devancé la Ferrari 458 GTE/AF Corse de Wyatt/Rugolo/Bertolini et l’Aston Martin de Dalla Lana/Nygaard/Lamy. Les Aston Martin ont une fois de plus marqué la course en venant même titiller les GTE-Pro durant la première partie de course, ce qui a sans aucun doute agacé les pilotes de pointe. Kristian Poulsen et David Heinemeier-Hansson sont donc titrés avant le dernier rendez-vous.
    MOTORSPORT : WORLD ENDURANCE CHAMPIONSHIP - WEC - 6 HOURS OF BAHRAIN - ROUND 7 - SAKHIR (BHR) 2014/11/14-15
    Le classement de la course est ici

    BMW R 1200 NineT

    Le BMW Nine T est blindé de style, avec un train avant de sportive, des jantes à rayons de 17 pouces, un réservoir long comme pour se coucher dessus, un bâti arrière très "vieilles anglaises", une double sortie d'échappement sport à l'ancienne. Un café-racer ? Non : un Café-Roadster.


    Harley Dnepr K750 – Metric Customs


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    Peanut butter and jelly. Vegemite and avocado. Pickled eggs and beer. In the culinary world there’s a few combinations that, at first glance, just shouldn’t work at all. And yet if you can manage to cross the chasm of logic and walk free in the land of adventurous eating, you’ll find that sometimes gut instincts and leaps of faith work a whole lot better than common sense. It’s the same instincts that Richard, from Berlin’s Metric Customs, used when he decided that there was no good reason why a Harley engine and a Dnepr bike couldn’t work together. Just like Reagan and Gorbachev. Genius.
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    “Metric Customs is a label just for myself,” says Richard, without a touch of irony. “It started with programmable ignition systems and some tuning parts for the Russian sidecar scene here in Germany. Also, most of the bikes I built or helped to get running have my logo on them. But not all are as special as ‘Charlotte,’ ‘Wanda,’ or this, my new project ‘Elenifae.’ As always, the name comes from family members; so far they don’t seem to mind.”
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    Rich builds all the bikes and parts, limiting the clientele to himself and his mates. Somehow we get the impression that he’s probably not short of those. But what he is short of is electricity. “I’ve only got two small garages, and believe it or not, neither of them have power. For all the big jobs, I usually have to do them after hours at work. It usually goes like this: disassemble in the garage, put it in my car, drive it to work the next day, unpack everything after work, work two days and nights, pack everything back into the car, drive back to the garage and unpack. Again and again.” Naturally, Rich hopes to find a proper workshop in Berlin in the new year. And we’re pretty sure his boss does, too.
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    So, now to ‘Elenifae.’ In January this year Rich scored an Ironhead motor in pieces. You know the story. You’re watching on eBay. Nobody’s bidding. What’s a motorcycle-riding man to do? “So I got it, rebuilt it and put it in the corner of my garage. At the same time I helped a friend to build a bike. He just so happened to have a second Dnepr K750 frame with papers he was sure he would never use. So when it came time to pay me… well, you get the drift. Without really thinking about it, I put it in my garage right to the ironhead engine. And the rest is history.”
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    “The project started on February 22nd this year with me cutting the frame apart and checking if this rather out-there idea would work. Naturally, the frame was too small, so I needed to rebuild it around the motor.” Rich carefully calculated some numbers and angles for a conservative rake, length and hight and made the frame’s new top and down tubes.
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    While it would have been a much simpler affair for Rich to dump the Rusky swing arm altogether, he decided he really liked it – just like Putin likes shirtless bear wrestles. So he got stuck in and built a new swing arm made from a confabulation of the Russian original and an Ironhead spare. “I welded it together so I could use the original swing arm hinge, which was also cut and moved backwards to get enough room.” After that, it was a just a case of getting everything square with a laser and welding the whole shebang together with a few additional tubes.
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    The next step? Rich tackled the engine mounts along with a thousand or so small holders, holes and tabs. Then the oil tank, the mountings for the footpegs, the saddle, the first draft of the fuel tank, a side stand and a rear fender were brought to life. “They were all made of sheet metal and old parts. Then I bought a new Harley springer front fork and mounted it.”
    Wanting to make the tank a focal point for the build, Rich then settled on a bold, scalloped design that would not only encompass the entire side of the tank, but also allow for a decorative brass beam to niftily span its length. Think of it as the bastard son of a metal beam and a set of knuckle dusters.
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    “The home stretch included the horn and light, which are driven by small brass buttons in the handlebars. As always, I added my electronic ignition module that I programmed and made myself. It even runs my own freeprogramming language. Yes, I am a proud geek.”
    Then it was a (not so) simple case of connecting up the brakes, wiring the, erm, wires and lamps. Last but not least, it was time for the much maligned (aka ‘bastard tough’) German TÜV approval in order to get the official road worthiness license. ‘I got it first go on the 26th of July, 2014. Finally, I was done.”
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    “The Russian frame was a nightmare. Nothing was straight.”
    “Then, in a moment of inspiration, I took the sidecar from another project just because it seemed to fit better with this project. Luckily, only a few small things needed to be changed. And that’s it! Maybe I’ve made it sound easy, but it was not at all. The Russian frame was a nightmare. Nothing was straight! In the end, most of it was replaced with the exception of the rear suspension mount, as that’s where the frame number was stamped.”
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    For those of you interested in seeing the build in a little more detail, Richard has the complete photo set from the process here. Best take a packed lunch, if you get what we mean. It’s pretty clear that the attention to detail Rich puts into his builds also makes its way into his visual documentation. We’ll call the emergency services if you’re not back in a week.
    via PIPEBURN

    Yard Built SR400 ‘Stallion’ and ‘Bronco’ by KEDO

    The German parts company’s first independent collaborations with Yamaha have resulted in two SR400 Yard Built creations that showcase some similarities but deliver two very different animals. The first, the ‘Stallion’ is dominated by sharp lines and rounded edges, hinting at its vintage genes.

    The second, the ‘Bronco’ is a street tough machine designed for everyday urban use with a blended mix of vintage style and current technology topped off with some serious flair. 




    Read more about it: http://bit.ly/1E2f6rQ

    WRC : La mutation des voitures de rallye / The mutation of rallying’s star cars…


    Des évolutions sont attendues pour les World Rally Cars apparues en 1997. Dès la saison prochaine, par exemple, le système de palette au volant va se généraliser... Que de changements depuis les monstres du Groupe B…
    En 1986, les voitures d’usine engagées au RAC Rally étaient complètement différentes de celles attendues ce week-end au Pays de Galles.
    Et pour cause : le RAC Rally 1986 a marqué la fin des Supercars du Groupe B, des prototypes de plus de 500 chevaux ultra performants et spectaculaires, mais aussi extrêmement dangereux. Après le RAC Rally 1986, le Championnat du monde des Rallyes FIA a basculé dans l’ère des Groupe A, des voitures plus proches de la série.
    Le règlement du Groupe A autorisait des moteurs 2-Litres turbo (puissance théoriquement limitée à 300 chevaux), une transmission à 4-roues motrices. Les modèles de série, qui servaient de base à l’homologation, devaient être produits à 5000 exemplaires en 12 mois consécutifs.
    Les Groupe A ont peu à peu été remplacées par les World Rally Cars à partir de 1997. Les modèles de série à 2-roues motrices (produits à 2500 unités minimum) pouvaient être modifiés en 4-roues motrices et équipés de moteurs de 2-Litres, pour peu qu’ils existaient dans la gamme du constructeur. Les systèmes de suralimentation étaient autorisés.
    Puis les nouvelles technologies ont permis aux ingénieurs de développer, entre autres, des systèmes hydrauliques complexes, entièrement gérés par l’électronique. Ainsi, différentiels et suspensions sont devenus « actifs », les changements de rapports de boîte s’effectuaient par des palettes au volant, l’accélérateur était électronique « Fly-by-Wire », les moteurs étaient équipés de post-combustion…
    Pour des raisons de coûts, ces systèmes ont été bannis par la FIA. En 2011, les World Rally Cars ont évolué vers des modèles plus compacts du segment B (exemple Ford Fiesta au lieu de Ford Focus, segment C), d’une longueur de moins de 4 mètres, produits à 2500 exemplaires en 12 mois consécutifs. La transmission intégrale est toujours autorisée, mais les moteurs sont désormais limités à une cylindrée d’1,6-Litre, injection directe, turbo (puissance environ 300 chevaux). La transmission est assurée par deux différentiels mécaniques (avant, arrière) et l’utilisation de matériaux « exotiques » comme le Titane, est interdit.
    Les changements de rapports de boîte sont désormais mécaniques, à l’exception de la voiture de Robert Kubica. Compte-tenu de son handicap, le Polonais a obtenu une dérogation pour un système de palettes au volant.
    Dès la saison prochaine, ce système va se généraliser et chaque team va utiliser un « Joker ». D’autres évolutions plus importantes sont attendues, notamment chez Volkswagen et Hyundai qui devraient engager des Polo R WRC et i20 WRC profondément modifiées.
    Le règlement technique des World Rally Cars actuel court jusqu’en 2017. La FIA et les constructeurs sont en discussion pour le devenir des voitures du WRC. On parle d’ores et déjà d’une sécurité renforcée pour les équipages.
    There are changes in store for World Rally Cars (WRC) which have evolved gradually since their introduction in 1997. From 2015, Kubica won’t be alone in using paddle gearshifts, for example. The machines have come a long way since the Group B monsters…
    In 1986, the cars which contested Britain’s world championship round were very different to those starring on this week’s Wales Rally GB.
    Indeed, that year’s ‘RAC Rally’ marked the final appearance of the so-called ‘Group B’ supercars. These purpose-built, 500-plus horsepower machines were extremely quick and exciting to watch, but a spate of accidents led to a switch to near-standard Group A cars as the sport’s flagship category from 1987.
    These new rules allowed two-litre turbocharged engines (with power output theoretically capped at 300hp) and four-wheel drive,providingsuch a car was available in road-going form in the manufacturer’s catalogue and that at least 5,000 had been produced in 12 consecutive months.
    Group A rule ended when new ‘World Rally Car’ regulations were introduced for 1997 (although Mitsubishi continued successfully with a Group A car for some time). This change enabled two-wheel drive cars (minimum production 2,500) to be converted to 4WD and run two-litre engines so long as the base engine was available under the bonnet of one the make’s models. Turbocharging was authorised.
    Lessons learned in 4x4 technology and turbocharging allowed engineers to continue sophisticating this new breed of rally car. They were also swift to identify the advantages of ‘active’ suspensions, but the concept of controlling such systems using engine power – preferably pressurised hydraulics – was quickly quashed by the FIA.
    Undeterred, Citroën struck on the idea of taking advantage of suspension-generated energy.
    Meanwhile, powered transmission control was comparatively free and three non-viscous mechanical differentials were permitted, as were paddle-lever gearshifts.
    In 2011, there was a major re-think of the World Rally Car technical rules and the emphasis switched to B-segment models (e.g. the Fiesta instead of the C-segment Focus) of less than four metres in length, with a minimum production of 2,500 over 12 consecutive months. Four-wheel drive was still allowed but engine size was brought down to 1.6 litres (still turbocharged), but power has gradually sneaked up (the title-winning VW Polo R WRC is listed as 315hp…).
    Transmission systems could now only use two non-active mechanical differentials (front and rear) and the employment of exotic materials (e.g. titanium) was prohibited to restrain costs.
    Although gear change mechanisms had to be strictly mechanical, restricted movement and power in Robert Kubica’s right arm earned him special dispensation to use powered paddle shifts in his personal car.
    From 2015, all World Rally Cars will be authorised to use such paddles and all teams have retained some technical ‘Joker’ specification-change options to carry over. As a result, much development work is under way to prepare for 2015 when Hyundai plans to homologate a new version of the i20 WRC and a significant proportion of Volkswagen’s Polo R WRC is likely to be modified.
    There may be milliseconds in it, but expect next year’s cars to be quicker...
    The target for the next wave of in-depth technical changes is 2017.

    réveil

    I am so use to wearing my come f**k me pumps that my thighs ache any time I am in flats. Just thinking back to when could barely stand in heels and was afraid to leave the house cross dressed. Well pucker up put on my lipstick, I love kissing and taking all of him up down till he explodes and I drain every last drop. Yum..Toni Girl

    dimanche 16 novembre 2014

    BELSTAFF "ROAD TRIP"


    WTCC : López scores a record victory - Huff is the King of Macau!

    Course 1 – 10e victoire et record pour López
    José María López ajoute Macao à son riche palmarès 2014 à l’issue d’une première course dominatrice sur le circuit de Guia.
    Au départ, le pilote argentin tire le meilleur parti de sa pole position et garde le contrôle de l’épreuve, sans pour autant que son avance en tête ne lui permette de gérer puisqu’il coupe la ligne avec une avance de seulement 2’’7 sur son premier poursuivant. En remportant ce 10esuccès, le pilote Citroën bat le record de victoires dans la même saison (Muller en avait décroché 9 en 2012). Il devient par ailleur, comme Augusto Farfus et Norbert Michelisz, le troisième pilote à s’imposer à Macao dès sa première participation à l’épreuve.
    Derrière López, tir groupé des Honda avec dans l’ordre Michelisz, Tarquini et Monteiro qui soulignent les excellentes performances des voitures japonaises. Ils sont talonnés par Muller et Loeb, troisième en début de course mais dont la Citroën ne s’est pas révélée aussi dominatrice en course.
    Franz Engstler, enfin, s’impose en TC2T.
    Moments clés
    Départ – Superbe envol de López et Michelisz, tandis que Tarquini et Monteiro passent Muller
    Tour 1 – Grosse frayeur pour Michelisz sur l’un des freinages, mais le Hongrois garde le contrôle de sa Civic et conserve sa 2e place, permettant toutefois à López de creuser légèrement l’écart. Loeb est 3e, devant Tarquini, Monteiro, Muller, Coronel, Huff, Valente et Ma. Chilton n’est que 16e en raison d’un mauvais départ
    Tour 2 – Ma passe Valente pour le gain de la 9e et s’attaque à Huff.
    Tour 3 – Loeb tente de passer Michelisz à Lisboa mais il est forcé de sortir large, se faisant ainsi déborder par Tarquini, Monteiro et Muller. Ma est 8e après s’être défait de Huff.
    Tour 5 – Revers de fortune pour les pilotes asiatiques du Campos Racing : Kwong percute le rail à San Francisco et Lok l’imite à l’épingle de Melco.
    Tour 6 – Valente s’arrête aux stands tandis que Bennani passe Huff à son tour
    Tour 7 – Muller et Loeb augmentent la pression sur les Honda, mais les positions n’évoluent pas
    Tour 8 – López mène avec 4’’5 sur le trio de pilotes Honda. Mauvaise opération, en revanche, pour Bennani qui, surpris par une manœuvre de Kwong, percute la Seat, tape le mur et abandonne.
    Tour 10 – Monteiro tente de dépasser Tarquini (perturbé par un capot en mouvement) à Lisboa, sans succès. López s’impose pour sa part devant les trois Honda et les Citroën de ses équipiers Muller et Loeb tandis que Engstler domine le TC2T.
    Course 2 – Huff roi de Macao !
    Rob Huff l’a fait… encore ! Le Britannique s’impose dans la Course, remportant son 7e succès (en 20 départs) à Macao.
    Le pilote LADA devient ainsi définitivement le Roi du circuit de Guia. Egalement la deuxième victoire pour le constructeur russe cette saison, qui se conclut sur une excellente note. Yvan Muller a tout tenté pour passer Huff, mais ce fut impossible pour le Français de trouver l’ouverture. Auteur d’un mauvais envol depuis la pole position, Hugo Valente se rattrape en s’invitant sur la troisième marche du podium, son troisième de l’année.
    La physionomie de l’épreuve changea totalement à deux tours de l’arrivée, à l’issue d’une neutralisation derrière le Safety Car, lorsque la Honda Tiago Monteiro rencontra un problème de direction qui l’a contraint à l’abandon. Le Portugais fut jusqu’alors le héros du début de course et semblait incontestablement s’envoler vers la victoire.

    Les honneurs du clan nippon reviennent ainsi à Norbert Michelisz, 4edevant López et Loeb, tandis que Franz Engstler, pour sa dernière course en WTCC, remporte la catégorie TC2T.
    Moments clés
    Grille – Deux pilotes ne peuvent prendre le départ : Bennani, dont la Honda n’a pu être réparé à temps, et Tarquini, victime d’une intoxication alimentaire depuis le matin. Mak Ka Lok, pour sa part, s’élance depuis la pit-lane.
    Départ –
     Mauvais envol des deux Chevrolet de Valente et Chilton, placés en première ligne. Monteiro parvient à se faufiler entre eux et prend la tête. Bon départ également pour Muller.
    Tour 1 –
     Valente tente de passer Monteiro à Lisboa mais se loupe et se voit déborder par Huff, Muller et Michelisz.
    Tour 2 –
     Monteiro mène devant Huff et Muller et tous trois mènent une lutte de toute beauté Michelisz est 4e et précède Valente, López, Chilton, Coronel, Ma et Loeb.
    Tour 3 –
     Huff résiste aux attaques de Muller au bout de la longue ligne droite.
    Tour 4 –
     Muller tente de nouveau à l’amorce de Lisboa mais Huff conserve la ligne intérieure. Belle bataille, également, entre Valente et López pour le gain de la 5e place, avant que le Français ne commette une erreur dans le dernier virage. L’épreuve est en revanche terminée pour Morbidelli lorsqu’il tape le rail dans FIsherman.
    Tour 5 –
     Loeb est 8e après s’être défait de Ma et Coronel. Meilleur tour en course pour Huff en 2.27.009.
    Tour 6 –
     Loeb dépasse Chilton et Ma se défait de Coronel à Lisboa, mais le Hollandais reprend son bien à San Francisco. C’en est terminé, par ailleurs, pour Kozlovsiy qui regagne les stands.
    Tour 7 –
     Petite erreur de Muller sur l’un des freinages dans les esses, alors que Ma provoque une neutralisation en percutant le mur dans « R » bend. La voiture de sécurité est déployée.
    Tour 10 –
     Muller commet une nouvelle faute au restart, ce qui donne de l’air à Monteiro et Huff, tandis que Valente déloge Michelisz de la 4eplace dans le virage de Lisboa.
    Tour 11 –
     Coup de théâtre au début du tour quand Monteiro ralentit en raison de soucis techniques. Il est immédiatement dépassé par Huff et Muller, en pleine bagarre. Tous deux se touchent à l’épingle de Melco, mais la LADA conserve l’avantage jusqu’au drapeau à damier. Valente complète le podium devant Michelisz, López, Loeb, Chilton, Coronel, Thompson et Engstler qui remporte le TC2T.
    Race 1 – López scores a record victory
    José María López has added the Macau diamond to his 2014 crown by winning authoritatively Race 1 at the Guia Circuit.
    The Argentine pulled away from pole at the start and kept control of the race, although is gap was never very consistent, ending with a 2.7-second margin. With this tenth seasonal success, the Citroën driver broke the record of most wins in the same season (Muller had scored 9 in 2012). He also became, after Augusto Farfus and Norbert Michelisz, the third WTCC driver victorious at Macau on his first appearance.
    Behind López, a compact Honda trio composed of Michelisz, Tarquini and Monteiro, who conducted an impressive race proving the excellent race pace of the Japanese cars. They were followed by Muller and Loeb, who ran third in the initial laps, with the Citroën cars being less dominating today.
    Franz Engstler won among the TC2T cars.
    Key moments Start – Excellent start of López and Michelisz, with Tarquini and Monteiro who pass Muller too
    Lap 1 – Scary moment for Michelisz in one of the braking points, but the Hungarian manages to stay on track and keep 2nd, while López in the lead pulls away. Loeb is 3rd ahead of Tarquini, Monteiro, Muller, Coronel, Huff, Valente and Ma. Chilton is only 16th after a poor start
    Lap 2 – Ma passes Valente for 9th and attacks Huff
    Lap 3 – Loeb attacks Michelisz at Lisboa but is forced to go wide, being passed by Tarquini, Monteiro and Muller. Ma is 8th after passing Huff
    Lap 5 – Bad luck for the Asian drivers of Campos Racing: Kwong hits the wall at san Francisco, and Lok does the same at Melco hairpin
    Lap 6 – Valente stops in the pits, while Bennani passes Huff for 9thLap 7 – Muller and Loeb increase the pressure on the Honda cars, but situation doesn’t change
    Lap 8 – López leads by 4.5 seconds on the Honda trio. Drama for Bennani, as the Moroccan is surprised by a move of Kwong, hits the SEAT, crashes into wall and retires
    Lap 10 – Monteiro tries to pass Tarquini (whose bonnet hood is swinging) at Lisboa, but with no success. López wins ahead of the three Honda cars and team-mates Muller and Loeb. Engstler takes success in TC2T
    Race 2 – Huff is the King of Macau!
    Rob Huff did it again! The Brit has managed to take an astonishing win in Race 2, signing his 7th win (in 20 starts) at Macau.
    This definitely made of him the King of the Guia Circuit. It was also the second victory of the year for him and LADA Sport, which ended the season on a great high. Yvan Muller tried everything to pass Huff, but it was impossible for the Frenchman to find a way through. Hugo Valente, after a poor start from the pole, recovered well to take third (his third podium of the year).
    The race’s physiognomy changed completely two laps from the end, when at the restart after a safety-car period, the leading Honda of Tiago Monteiro suffered from a power-steering problem and retired.
    The Portuguese had been the hero of the race until then, taking command at the start and looking as the very likely winner. Norbert Michelisz took fourth ahead of López and Loeb. Franz Engstler made the top 10, besides winning in TC2T, in his last WTCC race.
    Key moments
    Grid – Two drivers fail to take the start: Bennani, whose car cannot be repaired after his Race 1 incident, and Tarquini who is not feeling well (he was victim of food poisoning since the morning). Mak Ka Lok starts from the pitlane.
    Start – Bad start for the two Chevrolet cars of Valente and Chilton on the front row, with Monteiro sneaking between them and taking the lead; good start of Muller as well.
    Lap 1 – Valente tries to attack Monteiro at Lisboa, but goes wide and is passed by Huff, Muller and Michelisz.
    Lap 2 – Monteiro leads from Huff and Muller, with the three fighting furiously. Michelisz is 4th ahead of Valente, López, Chilton, Coronel, Ma and Loeb.
    Lap 3 – Huff manages to resist Muller’s attack at the end of the straight.
    Lap 4 – Again, a fruitless attack of Muller on Huff at Lisboa, but the Briton keeps the inside line. There is a nice fight also between Valente and López for fifth, with the French almost losing the car in last corner. The race is over for Morbidelli who hits the wall at Fisherman’s.
    Lap 5 – Loeb is in P8 after passing Ma and Coronel. Fastest lap for Huff in 2.27.009.
    Lap 6 – Loeb passes Chilton and Ma passes Coronel at Lisboa, but the Dutchman takes over again at S.Francisco. Kozlovsiy in the pits.
    Lap 7 – Little mistake by Muller in one of the brakings in the “esses”, while Ma is off against the wall at the “R” bend. The safety car is deployed.
    Lap 10 – Small mistake of Muller at the restart, which gives breathing space to Monteiro and Huff, while Valente takes fourth from Michelisz at the Lisboa corner.
    Lap 11 – There is drama at the beginning of the lap, as Monteiro slows down with some technical problem and he is passed by Huff and Muller in close fierce duel. There is contact at the Melco hairpin, but the LADA car manages to keep the advantage until the flag. Valente is on the podium, ahead of Michelisz, López, Loeb, Chilton, Coronel, Thompson and Engstler, who wins in TC2T.




    Yard Built SR400 ‘Stallion’ and ‘Bronco’ by KEDO

    The German parts company’s first independent collaborations with Yamaha have resulted in two SR400 Yard Built creations that showcase some similarities but deliver two very different animals. The first, the ‘Stallion’ is dominated by sharp lines and rounded edges, hinting at its vintage genes.

    The second, the ‘Bronco’ is a street tough machine designed for everyday urban use with a blended mix of vintage style and current technology topped off with some serious flair. 



    Video: the highlights from Wales Rally GB


    MotoGP ; Cervera accueille ses deux Champions, Marc et Álex Márquez / Fans celebrate with Marc and Alex Marquez in Cervera

    Alex & Marc Marquez Titles Celebration in Cervera, Spain

    Les Champions du Monde MotoGP™ et Moto3™ ont fêté leur incroyable saison 2014 avec des milliers de fans ce week-end à leur retour à Cervera.

    Alex & Marc Marquez Titles Celebration in Cervera, Spain

    Le Championnat du Monde MotoGP étant terminé, Marc et Álex Márquez sont rentrés chez eux à Cervera ce week-end et ont été accueillis en héros par des milliers de fans.
    Les rues de Cervera avaient déjà été le théâtre des festivités qui avaient suivi les premiers titres de Marc Márquez, en 125cc en 2010, en Moto2™ en 2012 et en MotoGP™ l’an dernier, si bien que l'évènement semble désormais être devenu une tradition. Pour la quatrième fois en cinq ans, cette petite ville espagnole fêtait le retour de son plus glorieux représentant mais aussi celui de son frère Álex, couronné en Moto3™ au début du mois. Les deux frères Márquez et leurs équipes respectives ont paradé dans les rues de Cervera et ont terminé leur parcours sur scène pour s’adresser à leurs fans.
    Marc Márquez :     
    « La journée a été magnifique. Cette année nous avons en plus eu du beau temps, il faisait un peu froid mais il n’a pas plu, contrairement à l’an dernier. C’était très émouvant de voir tous les gens de la ville, des visages connus et tous ceux qui sont venus ici pour fêter nos deux titres, celui de mon frère et le mien. Tout ça montre que nous avons fait quelque chose de très grand et nous motivera pour l’an prochain. »
    Álex Márquez :     
    « Ça a été une journée spéciale pour les gens de Cervera et pour tous ceux qui sont venus des alentours. Nous voulions que les fans sentent que c’est aussi leur titre parce que rien n’aurait été possible sans leur soutien. Nous avions eu une cérémonie ici l’an dernier et nous avions promis de revenir avec deux titres. Nous avons réussi. L’année a été longue et difficile, il a fallu travailler très dur. Maintenant l’heure est venue de prendre un peu de repos et de savourer nos victoires mais je suis quand même impatient de relever le prochain défi. »
    Alex & Marc Marquez Titles Celebration in Cervera, Spain
    MotoGP™ and Moto3™ World Championship-winning brothers celebrate their historic 2014 season in front of thousands of supporters in their hometown.
    With the MotoGP World Championship over, this Saturday it was time to celebrate the successes of the Repsol Honda riders. Marc and Alex Marquez were treated to a unique party in the streets of Cervera, where thousands of fans hailed the historic achievements of this season.

    For residents of the Spanish city, holding title celebrations is becoming a tradition after the honours taken in 2010 in the 125cc class, in 2012 in Moto2 and in MotoGP last year. For the fourth time in five years, the streets were filled and there was a party atmosphere. The difference this time was that the fans were not only out to cheer two-time MotoGP World Champion Marc Marquez, but also his younger brother Alex –newly crowned as Moto3 World Champion. Accompanied by their respective teams, the siblings led a massive parade through the streets of Cervera to reach a stage –where they were able to address all those present.

    It was an exciting end to a party at which the Repsol Honda riders expressed gratitude for the unwavering support of their fans, in addition to the work of their teams and everyone who got behind them in such a special season. Both Alex and Marc displayed their charisma and charm on stage, where they were cheered in an emotional ceremony that signed off an unforgettable 2014.

    Marc Marquez                 
    "Today was a very beautiful and special day. This year the weather has been good as well, and even though it was a little cold at least it didn't rain like last year. It was very emotional to see all the people from the town, familiar faces and everyone who has travelled here to celebrate our two titles –both my brother's and mine. All of this shows us that what we have achieved is very big and gives us a lot of motivation for next year."

    Alex Marquez                 
    "It has been a very special day with the people of Cervera and all who have come from outside the town. We want the fans to feel that this title is theirs too, because without their support it would not have been possible. Last year we held a celebration here, and we promised that we would come back with two titles. We succeeded. It has been a long and difficult year, in which we have had to work hard. Now it is time to rest a bit and enjoy mine and my brother's titles, but I can't wait to face the new challenges ahead."

    Press release courtesy of Repsol Media
    Alex & Marc Marquez Titles Celebration in Cervera, Spain

    WRC, Wales Rally GB : « Réservez pour Noël ! »


    L’an passé, les zones-spectateurs de Chirk Castle et de Kinmel Estate marquaient le retour du WRC dans les mythiques spéciales « Mickey Mouse » qui ont fait la renommée du RAC Rally. Face au succès rencontré, les organisateurs renouvellent l’expérience cette année.
    Noël et le Wales Rally GB n’arrivent qu’une fois par an. Mais heureusement, les deux événements sont assez proches, alors on peut joindre les deux. Au Royaume-Uni les soirées de Noël privées commencent début décembre.
    Prenez Chirk Castle, par exemple. Cette forteresse impressionnante, assise en haut d’une colline, tout près de la frontière Pays de Galles/Angleterre, propose un calendrier de festivités particulièrement animé, comme une semaine de dîners de Noël médiévaux ouverte au public du 13 au 21 décembre. « On attend plus de 1000 convives sur la semaine », annonce John qui travaille pour le monument. « C’est tout nouveau, c’est un projet ambitieux et excitant. »
    L’an passé à pareille époque, le projet du Chirk Castle était d’accueillir une spéciale du Wales Rally GB et la popularité de l’événement a surpris tout le monde, avec d’énormes embouteillages et un chaos tout britannique.
    Cela n’a pas empêché le propriétaire du château, le National Trust, d’accueillir à nouveau le Wales Rally GB demain (samedi) avec une spéciale de 2,06 km. Mais cette fois, l’équipe organisatrice s’est préparée à l’invasion de plus de 10 000 fans de rallye ! « L’an passé, on s’est fait surprendre », explique John. « On a beaucoup mieux travaillé cette année, en étroite collaboration avec la police, les autorités locales et les organisateurs du rallye pour créer des parkings, mieux gérer le public… »
    « On proposera aux fans des divertissements plus familiaux avec des parades, des expositions de Supercars et de voitures de rallye historiques ». Est-ce que Chirk Castle va détrôner le Festival of Speed de Goodwood ? Espérons que la météo soit aussi clémente que dans le Sussex en juin dernier…
    D’autre part, la dernière étape du Wales Rally GB comprend deux passages dans la spéciale de Kinmel Park (2,21 km), également visitée en 2013.
    Ce terrain privé, de 200 hectares, se trouve tout près de la côte, au nord du Pays de Galles. Le parc est réputé pour la pêche au saumon et à la truite de mer, mais il compte aussi un parcours de golf et propose différentes activités (tir, chasse, promenades à cheval…). Pour quelques heures dimanche, le charme bucolique de Kinmel Park laissera place au bruit assourdissant des moteurs…
    Et puis, Kinmel va retrouver sa tranquillité. Et qui sait, peut-être que certaines parties de chasse ou de pêche se termineront au dîner de Noël de Chirk Castle !

    WRC, Wales Rally GB : Ogier conclut en beauté / triumphant Ogier ends 2014 in style!


    Au volant de sa Volkswagen Polo R WRC/Michelin, Sébastien Ogier a remporté une victoire « facile » au Pays de Galles pour conclure la saison 2014 en beauté. La superbe bagarre pour la deuxième place a été remportée par Mikko Hirvonen (Ford) qui met un terme à sa carrière sur un 69e podium mondial. Nasser Al-Attiyah est Champion WRC-2 avec Ford et Michelin.
    Après avoir débuté l’année par un succès au Rallye Monte-Carlo, Sébastien Ogier a décroché sa 8e victoire 2014 aujourd’hui à Llandudno, au nord du Pays de Galles.
    Le double champion du monde a été aidé en cela par ses deux équipiers, Andreas Mikkelsen et Jari-Matti Latvala, auteurs de sorties de route. Le Finlandais pointait à seulement 6s6 d’Ogier avant de perdre plus de 3 minutes samedi matin. Dès lors, Seb n’avait plus qu’à contrôler pour récolter sa 16e victoire avec Volkswagen (sa 24e au total). La VW Polo R WRC, qui a débuté il y a 24 mois, a déjà remporté 24 victoires mondiales.
    « La victoire était l’objectif de cette dernière manche », a admis Ogier, vainqueur du Wales Rally GB pour la seconde année consécutive. « C’était la grosse attaque jusqu’à la faute de Jari-Matti. Ensuite, j’ai juste géré mon avance, mais ce n’est jamais facile dans ces conditions. »
    Avec Mikkelsen et Latvala hors du match pour la victoire, toute l’attention s’est portée sur la bagarre terrible pour la 2e place. Elle est finalement revenue à Mikko Hirvonen (+37s6) qui disputait son dernier rallye mondial comme pilote professionnel. Le Finlandais a signé le 69epodium de ses 13 ans de carrière au top-niveau de la discipline. « C’était une des plus belles batailles que j’ai livrées. Sympa pour terminer sa carrière », déclarait Hirvonen à l’arrivée.
    Son duel avec Kris Meeke (6e, Citroën) ce matin s’est terminé quand le Britannique est passé au fossé dans l’ES18, endommageant deux roues. Il a dû disputer la fin de rallye au ralenti. Les malheurs de Meeke ont profité à son équipier Mads Ostberg qui termine sur le podium (+1min03s6). Le Norvégien a effectué une course solide, soulignée par deux meilleurs temps. Ce résultat permet au team Citroën-Total Abu Dhabi WRT d’être vice-champion du monde Constructeurs 2014 avec deux points d’avance sur M-Sport WRT !
    Le vainqueur de l’ADAC Rallye Deutschland Thierry Neuville (+1min14s9) a conclu à la 4e place sur sa Hyundai i20 WRC et conservé l’avantage sur le Gallois Elfyn Evans (5e, Ford) jusqu’au bout.
    Jari Ketomaa (Ford Fiesta R5) n’a pas été inquiété en WRC-2. Il s’est imposé devant l’Italien Lorenzo Bertelli. Matthew Wilson a fêté son retour en WRC par une 3e place au volant de sa Ford Fiesta aux couleurs de Michelin Pilot Sport. La 6e place de Nasser Al-Attiyah (Ford Fiesta RRC/Michelin) permet au Qatari de coiffer la couronne mondiale WRC-2, 8 ans après son titre en Production.
    La catégorie Junior a été remportée par le Britannique Alastair Fisher (Citroën DS3 R3T)
    Sébastien Ogier steered his Michelin-equipped Volkswagen to an easy victory in Wales to conclude his second title-winning campaign on a high note. A thrilling battle for second saw Mikko Hirvonen (Ford) wrap up his career in the medals. Nasser Al-Attiyah (Ford) is the 2014 WRC-2 champion.
    After beginning the 2014 season with victory in Monte-Carlo, Sébastien Ogier took his total score for the year to eight wins when the WRC season ended today in Llandudno, North Wales.
    The two-time champion was aided when his chief rivals – team-mates Andreas Mikkelsen and Jari-Matti Latvala – left the road early on. The Finn had been challenging just 6.6s behind when he fell back on Day 2’s opening test but, from that point, Ogier was free to cruise to his 16th WRC win with Volkswagen. The latter has now won 22 world class events in the Polo R WRC which made its competitive debut less than 24 months ago!
    “Winning was my target for the last round,” admitted Ogier after winning Rally GB for the second time. “It was flat out when I was fighting with Jari-Matti. After that, I just had to control, but that’s never easy in conditions like this.”
    With Mikkelsen and Latvala out of contention, attention focused on what turned out to be a thrilling scrap for runner-up honours. Fittingly, they ended up in the hands of Mikko Hirvonen (+37.6s) who was contesting his last rally as a professional rally driver. It was the 69th podium of his 13-year career.
    The Finn’s intense last-morning fight with Kris Meeke (Citroën) ended when the Briton dropped a chunk of time on the penultimate test, the result of tyre damage sustained during a visit to a ditch on SS18.
    “It was one of the most enjoyable battles I have had. A great way to end my career,” beamed Hirvonen after the last stage.
    Meeke’s misfortune played into the hands of Citroën team-mate Mads Ostberg who was delighted to get a footing on the year’s final podium (+1m3.6s). His solid run, which included two fastest times on Sunday, was spoiled by a time penalty and a puncture on Saturday afternoon.
    Rallye Deutschland victor Thierry Neuville (+1m14.9s) salvaged fourth place for Hyundai after Meeke fell back to sixth (+2m3.0s), while Elfyn Evans’ continuing apprenticeship with M-Sport Ford bagged fifth on home soil (+1m24.3s).
    The result enabled Citroën Total Abu Dhabi WRT to clinch second place in the Manufacturers’ championship, just two points clear of M-Sport WRT.
    After going off on SS2, Mikkelsen re-joined on Saturday when he collected a run of fastest times, but he crashed out for good on the last day’s second stage. With nothing really to fight for, Latvala (8th overall behind Tanak, +2m47.5s) produced a sequence of stage victories on Sunday, including the damp Power Stage.
    Jari Ketomaa’s unchallenged domination of the WRC-2 fight lasted to the finish to beat fellow Ford Fiesta R5 driver Lorenzo Bertelli. Matthew Wilson celebrated his return to the world championship with the class’s bronze medal in his Michelin-liveried Fiesta RRC. A safe performance by 43-year old Nasser Al-Attiyah (6th, Fiesta RRC) was sufficient to make sure of the 2014 WRC-2 title, eight years after his Production-WRC crown.
    The Junior-WRC battle was won by Northern Irishman Alastair Fisher (Citroën DS3 R3T).


    WRC, Wales Rally GB : Ogier en mode « cruise control »


    Sébastien Ogier (VW/Michelin) a terminé les deux premières spéciales du jour, en route vers une huitième victoire cette saison. Mikko Hirvonen (Ford) défend sa deuxième place, mais Meeke (Citroën) est revenu à 2.1 secondes. Andreas Mikkelsen est de nouveau sorti de la route.
    De l’autre côté du lac (Llyn) Brenig, nous sommes au milieu d’une plantation de sapins de Noël. Ca sent la fin d’année et le terme de la 42e édition du Championnat du monde des Rallyes FIA… Avec deux Superspéciales et deux autres passages dans Brenig et Alwen, il n’y a plus que 25 km chronométrés à parcourir dans ce Wales Rally GB 2014.
    Les prévisions de BBC Weather étaient justes : le rallye s’est déroulé sous une météo clémente, mais les conditions de roulage sont restées très délicates dans les forêts galloises : « Très difficile, très glissant », confirmait Juho Hanninen (Hyundai), le premier à en avoir terminé avec l’ES19. « Mikkelsen est sorti dans un virage hyper piégeux. Je serais parti à la faute moi aussi si j’avais ouvert la route. »
    Sébastien Ogier est toujours en mode contrôle : « C’est dur, alors c’est bien d’avoir de l’avance. Je ne vais évidemment pas attaquer dans la Power Stage, je n’ai plus trop besoin de points !! » Son équipier Latvala était tout sourire quand on lui a demandé s’il voulait conclure la saison avec trois points supplémentaires…
    Toute l’attention est portée sur la bagarre fascinante entre Hirvonen et Meeke pour la 2e place. Le pilote Ford a débuté la journée avec une avance de 3s4, mais Kris Meeke l’a réduite à 2s1 malgré une belle frayeur : « Le côté droit de la Citroën était dans le fossé, j’ai essayé d’en sortir, j’ai cru que je n’y arriverai pas. »
    De son côté, le Finlandais semble apprécier cette ultime bataille. « Je donne tout. C’est difficile de trouver le bon rythme. Ca va être dur d’arrêter ma carrière ! »
    Mads Ostberg est 4e et a pris le large sur Thierry Neuville (Hyundai) grâce à deux meilleurs temps consécutifs (ES18, ES19). Mais il pointe à une demi-minute de son équipier Meeke. Neuville est quant à lui sous la menace d’Elfyn Evans (Ford, +6s4). Henning Solberg (Ford) a abandonné après l’ES19 en raison d’une fuite de carburant.